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La tête à rire

5 mars 2011

"Il y a longtemps que je t'aime" (1979)

DSC01715Je viens d'acheter ce scénario sur ebay. Je ne me souvenais plus trop de ce film avec Marie Dubois et Jean Carmet, mais je suis contente de l'avoir lu, il m'a fait passer un bon moment.

C'est l'histoire d'un couple qui décide de se séparer après vingt-cinq ans de mariage, malgré les liens encore très forts qui les unissent.

Il y a des scénaristes/metteurs en scène dont on aime le style. J'aime beaucoup les histoires qu'écrit Jean-Charles Tacchella. Le personnage du mari qui veut recommencer une nouvelle vie sans contrainte, au jour le jour, m'a bien fait rire. Un mélange de candeur, d'optimisme à toute épreuve, de folie derrière un masque bien quotidien... Très drôle.

En revanche, il y a un autre film du même nom, sorti en 2008, avec Kristin Scott Thomas. Pas du tout le même genre, pas marrant du tout et j'ai un gros problème avec l'histoire. J'en parlerai la prochaine fois.

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4 mars 2011

"Cousin, cousine"

DSC01738Un film datant de 1975, avec Victor Lanoux et Marie-Christine Barrault, écrit par Jean-Charles Tacchella et Danièle Thompson.

J'ai acheté le scénario en français, publié par l'Avant-Scène, que j'ai lu il n'y a pas longtemps. Il diffère un peu de la version américaine qui en a été faite en 1989 avec Ted Danson et Isabella Rossellini et dont j'ai aussi acheté le scénario. J'aime les deux versions (titre en anglais : Cousins).

Cousin, cousine est l'histoire de deux cousins par mariage qui se mettent à avoir une histoire lorsque leurs propres époux sont infidèles.

Jean-Charles Tacchella a le chic d'écrire des histoires qui me plaisent : simples, sympas, sonnant juste. Je parlerai dans mon prochain message d'un autre de ses textes que je viens d'acheter, Il y a longtemps que je t'aime.

3 mars 2011

Et tout se finit si bien...

Je viens de lire deux pièces de Marc Camoletti, Duos sur canapé et Pyjama pour six, et ce qui me frappe dans ces deux pièces, et dans d'autres traitant de couples qui se déchirent et d'adultère, c'est de voir que tout se rafistole toujours si bien à la fin.

C'est vrai que nous sommes dans le théâtre de boulevard, dans le théâtre qui fait du bien, donc il ne faut pas s'attendre à des histoires qui se terminent sur des méga crises de larmes ou des poursuites au couteau, mais cela m'amuse tout de même de voir que les personnages peuvent s'envoyer des vacheries à la figure pendant deux heures, prendre un amant devant leur conjoint, le tromper ouvertement et arriver malgré tout à passer l'éponge à la fin et à faire que tout rentre dans l'ordre.

Il y a beaucoup de pièces sur ce modèle, Canard à l'orange, de William Douglas Home pour n'en citer qu'une (j'en parlerai bientôt). C'est un peu une convention, un exercice de style où en fin de compte on sait que tout va être réglé, ce qui est amusant est de voir comment les personnages vont se dépatouiller pour y arriver.

Je ne sais pas pourquoi cela m'étonne particulièrement aujourd'hui, sûrement parce que je viens de lire deux pièces présentant un "rafistolage" plutôt époustouflant.

2 mars 2011

"Duos sur canapé" (3H, 2F)

DSC01794Duos sur canapé, une pièce de Marc Camoletti en trois actes publiée par la Librairie théâtrale.

Je préfère cette pièce à Pyjama pour six, du même auteur (message du 12 février).

C'est l'histoire d'un couple qui coupe leur appartement en deux après leur séparation car aucun des deux ne veut déménager. Très vite leurs nouvelles conquêtes arrivent pour s'installer dans la partie réservée à l'un ou à l'autre et la gêne s'installe.

J'ai dû voir cette pièce lorsque j'étais petite car elle m'était étrangement familière. Un très bon texte selon moi.

1 mars 2011

Journée de Lyon des auteurs de théâtre

Pour ceux qui ne connaissent pas, les Journées de Lyon des auteurs de théâtre est un concours annuel de pièces de théâtre, tous genres confondus. L'avantage de ce concours c'est qu'il accepte les envois par mail.

Plusieurs pièces sont récompensées (environ six) par un prix de 300 euros.

Pour le lien pour la compétition 2011 qui vient de se terminer, voir ici.

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28 février 2011

Délai passé

Eh oui, j'ai encore raté le délai des Journées de Lyon des auteurs de théâtre. Le dernier jour pour la remise des manuscrits ? Ben oui, aujourd'hui. Où le temps va ? Ce n'est pas possible. Je vise donc maintenant 2012.

Dans sa biographie A la ville comme à la scène, l'auteur de théâtre Pierre Barillet raconte que lui et son partenaire d'écriture, Jean-Pierre Grédy, ont écrit certaines de leurs pièces en trois semaines. Trois semaines seulement ! J'aimerais bien que cela m'arrive un truc pareil.

27 février 2011

Quand Hollywood va trop loin

Rien à voir avec le théâtre comique aujourd'hui, mais un fait divers tragique, le meurtre de la jeune étudiante anglaise Meredith Kercher en 2007, qui vient de faire l'objet d'un film aux Etats-Unis.

Je suis que pour chacun puisse s'exprimer comme il l'entend, mais tout de même, bonjour le mauvais goût !

Le procès est à peine terminé, Amanda Knox, l'une des trois accusés, vient juste de faire appel contre sa peine de prison qu'une maison de production à Hollywood se donne le droit de faire un film sur ce qui s'est passé.

Ils montrent même la scène où Meredith Kercher aurait été tuée !  Alors que de nombreux doutes pèsent sur le procès, sur le rôle et la culpabilité des trois meurtriers, malgré les importantes zones de flou, des producteurs se permettent de sortir un film avec leur version des faits en toute impunité !

Incroyable !

26 février 2011

La Fédération sportive et culturelle de France

Autre concours qui peut intéresser les auteurs de théâtre. La FSCF organise leur neuvième concours d'œuvres dramatiques. Tous les genres sont bienvenus.

Pour le lien, voir ici.

Bonne chance à tous ceux qui participeront. Attention, délai 14 mars 2011.

25 février 2011

Les éditions de l'Avant-Scène

Un petit message sur les Editions de l'Avant-Scène, éditeur réputé de pièces de théâtre et de cinéma. Qu'est-ce que je ferais sans ces éditions ? Où irais-je me procurer des nouvelles pièces ?

C'est courageux, à un moment où tous les gadgets genre iPad abondent et semblent être mis sur le marché pour remplacer les livres, de publier des revues chaque mois dans un domaine si spécifique que le théâtre, à un tirage qui j'imagine ne doit pas être très large.

Je ne suis pas abonnée, car j'aime surtout les pièces qui font rire et je ne veux pas me farcir de textes trop pompeux ou trop tristes. Si les éditions de l'Avant-Scène proposaient un abonnement spécial "Pièces comiques" par exemple, je serais partante. Une petite suggestion en passant...

24 février 2011

"Même heure, l'année prochaine" (1H, 1F)

DSC01855Pour compléter mon message du 30 octobre...

Je viens de trouver la pièce de théâtre Même heure, l'année prochaine, de Bernard Slade, en français ! ll s'agit du numéro 594 de la revue Avant-Scène (parution 15 septembre 1976).

Je ne savais pas qu'elle avait été publiée en français. Je l'ai trouvée sur ebay par hasard. Très bonne découverte.

23 février 2011

"Lunes de miel" (2H, 3F)

DSC01844Ma dernière lecture : Lunes de miel de Noël Coward, une pièce en trois actes publiée par l'Avant-Scène (numéro 1154).

C'est l'histoire d'un couple qui se retrouve cinq ans après leur divorce, le soir même où ils viennent chacun d'épouser quelqu'un d'autre.

Si on accepte la relation plus que volatile des deux personnages principaux, c'est très marrant.

22 février 2011

Shirley Valentine (scénario)

DSC01707Pour faire suite à mon message précédent, voici le scénario en anglais du film Shirley Valentine.

Très chouette à lire aussi. Un film qui redonne instantanément le moral.

21 février 2011

Shirley Valentine (1F)

DSC01619J'ai cette pièce de théâtre (en anglais) sur mon étagère depuis trois ans au moins. J'avais commencé à la lire à l'époque, mais avais lâché assez vite, car j'avais trouvé la première scène un peu longue pour un personnage tout seul en scène et avais attendu l'entrée d'un second, en vain.

Je pouvais attendre longtemps, je viens de réaliser que c'est une pièce avec un seul personnage féminin. Un seul personnage ! Ce n'est pas croyable.

J'aimerais bien voir ce que cela donne sur scène, je dois dire, une femme ayant la quarantaine qui parle à un mur tout en préparant un repas pour son mari et cogitant de partir ou pas en Grèce avec une copine.

 

20 février 2011

Cérémonies de remises de prix

Je ne voudrais pas passer pour une râleuse, mais il me semble qu'il y a un peu trop de cérémonies de remises de prix dans l'industrie du cinéma. On n'en sort pas. Tous les trois jours, on apprend que Colin Firth a remporté un prix d'interprétation pour Le discours du roi et Natalie Portman pour Black Swan.

Je n'ai rien contre Colin Firth ou Natalie Portman, mais cela fait un peu rebelote. Ils ne doivent plus savoir quoi faire comme discours, les pauvres. Et leur conjoint ? A les suivre un peu partout aux quatre coins du globe pour les entendre répéter la même chose ?

Peut-être que c'est parce que je vis en Angleterre et qu'on entend tout ce qui se passe aux Etats-Unis, mais cela commence à être un peu lassant, et le pire c'est que je n'ai regardé aucune de ces cérémonies (Baftas et autres).

Et les Oscars sont la semaine prochaine ! Et qui va gagner les prix du meilleur acteur et de la meilleure actrice ? Mais oui, Colin Firth et Natalie Portman. Quel suspense !

19 février 2011

"Stationnement alterné" (6H, 2F)

DSC01783Stationnement alterné, de Ray Cooney, une pièce en deux actes publiée par l'Avant-Scène (numéro 1194).

Voilà une bien jolie surprise. J'avais lu Le saut du lit de Ray Cooney il y a deux ans, j'avais bien aimé mais avais trouvé qu'il y avait tout de même trop de portes qui claquaient à mon goût. Pas le cas ici. Pas facile à mettre en scène car il y a deux décors, deux apparts à montrer en simultané, et les répliques au tac au tac, le rythme soutenu du texte doivent être éreintants pour les acteurs.

J'ai vraiment beaucoup aimé cette pièce. L'histoire est celle de Jean, un chauffeur de taxi, qui a deux foyers, deux femmes qui l'aiment, une à Montreuil, l'autre à Ivry. Jusque-là, il a réussi à mener une double vie grâce à son emploi du temps bien minuté, mais un jour, du fait d'un accident, tout déraille...

Je vais lire maintenant Père et Impair de Ray Cooney, car c'est tout à fait mon style de divertissement.

18 février 2011

L'auteur de théâtre aujourd'hui

Toujours un petit extrait du livre de Pierre Barillet, A la ville comme à la scène (p. 430). J'ai trouvé ce passage intéressant.

"Aujourd'hui, on ne monte plus de pièces. On monte des coups. Quels sont les auteurs contemporains qui font carrière ? Le théâtre est entre les mains d'épiciers. Il n'y a plus de continuité dans la création française, seulement de rares cas d'exception.

Ainsi Art qui a connu un succès mondial. Mais son auteur Yasmina Reza, qui ne cache pas son admiration pour Nathalie Sarraute, mesure avec parcimonie sa production, et elle donne l'impression d'écrire en dilettante – ce qui n'est pas le cas d'Eric Emmanuel Schmitt qui semble avoir sacrifié toute autre aspiration à celle d'une rentabilité assurée par une production intensive.

Seul Jean-Marie Besset peut être considéré comme un héritier des dramaturges professionnels dans la grande tradition. Les difficultés qu'il rencontre à se faire jouer ne font que donner la mesure de ses ambitions, et sont bien la preuve qu'il refuse toute concession."

Je reparlerai des auteurs mentionnés un autre jour (manque de bol, je ne connais pas Jean-Marie Besset, mais je vais remédier à cette lacune sans tarder).

Voici un extrait signé Pierre Laville dans sa revue Acteurs, que Pierre Barillet mentionne un peu plus loin :

"L'auteur contemporain a disparu. La raison principale en est le caprice et la prétention abusive des "vedettes". (...) Il faut de l'héroïsme pour écrire pour le théâtre ces temps-ci. Car l'auteur n'est guère estimé. (...) Il est perçu décalé par rapport au discours superfétatoire du metteur en scène".

Voilà, tous ceux qui comme moi s'intéressent à l'écriture théâtrale sont bien mal barrés...

17 février 2011

Le rôle du théâtre ?

Pierre Barillet le dit très bien dans son livre A la ville comme à la scène (p.294) :

"C'est cela, le théatre : sinon se reconnaître, du moins reconnaître ceux qui nous entourent, et pouvoir rire de cette représentation de nos vérités, qui dans la vie ne trouvent pas toujours des conclusions aussi optimistes."

Bien vu !

16 février 2011

Pierre Barillet, sur France Culture

Je viens d'écouter une émission sur France Culture consacrée notamment à l''auteur de théâtre Pierre Barillet à l'occasion de la sortie du film Potiche, film inspiré de la pièce du même nom écrite par lui et Jean-Pierre Grédy.

On lui demandait tout d'abord ce qu'il pensait du théâtre de boulevard actuel. Pour lui, c'est du sous-boulevard, ce qui me rassure un peu, car je ne clique pas trop avec ce qui se passe en ce moment.

Il parlait d'une pièce qui lui a fait forte impression : Les parents terribles, de Jean Cocteau. Comme je ne connais pas, je vais essayer de me la procurer.

Il mentionnait ensuite sa première pièce, Les amants de Noël, que je n'ai pas lue, tout comme un autre de ses livres, Quatre années sans relâche, que je vais essayer d'acheter. 

Il rappellait que Le don d'Adèle, leur première pièce à succès, a été refusée un peu partout avant d'être acceptée en bouche-trou. Cela rassure ce genre de choses.

Et quelques remarques en vrac, notamment que l'auteur Jacque Deval est tombé aux oubliettes (j'en parlerai un de ces jours), que le théâtre de boulevard a toujours été critiqué, même lorsqu'il avait énormément de succès, que les acteurs établis d'autrefois étaient beaucoup plus ouverts sur les jeunes auteurs qui débutaient, et que le déclin du boulevard est venu entre autre, selon lui, des acteurs qui ont délaissé la scène pour le cinéma.

Une émission très intéressante. C'est la raison pour laquelle j'ai ouvert une rubrique Emissions France Culture. Tous les mercredis, une emission est consacrée au théâtre et je parlerai de celles plus particulièrement orientées vers le théâtre comique.

15 février 2011

38 pièces de théâtre à lire

Voici les 38 pièces de théâtre, mentionnées dans la biographie de Pierre Barillet dont je parlais tout à l'heure, que je vais lire (ou pour certaines relire) :

L’Invitation au château, Jean Anouilh

Une folie, Sacha Guitry

Le Figurant de la Gaité, Alfred Savoir

Mademoiselle, Jacques Deval

Les oeufs de l’autruche, André Roussin

Clérambard, Marcel Aymé

Born yesterday, Garson Kanin

Bonne fête, Esther (The Deep Blue Sea), Terence Rattiggan

L’heure éblouissante, Anna Bonacci

Ping-Pong, Arthur Adamov

L’œuf, Félicien Marceau

La magicienne en pantoufles (Bell book and Candle), John van Druten

L’Ecole des cocottes, Armont et Gerbidon

L’hurluberlu, Jean Anouilh

L’effet Glapion, Audiberti

Un beau dimanche de septembre, Ugo Betti

Un goût de miel, Shelagh Delaney

La Logeuse, Audiberti

La grotte, Anouilh (pièce bizarre,paraît-il)

Va donc chez Törpe, François Billetdoux

L’assassin de la générale, L. Fodor

Monsieur Barnett, Jean Anouilh

L’atelier, Jean-Claude Grumberg

Le nombril, Jean Anouilh

La Crécelle, Charles Dyer

Des clowns, par milliers, Herb Gardner

L’Idée fixe, Paul Valéry

Adieu Berthe ! John Murray et Allen Boretz

L’Aide-mémoire, Jean-Claude Carrière

Le scénario, d’Anouilh

Les dames du jeudi, Loleh Belllon

Le vison voyageur, Ray Cooney, John Chapman

Cher Antoine ou l’amour raté, Anouilh

Le Tourniquet, Victor Lanoux

Tovarich, Jacques Deval

Un habit pour l’hiver, Claude Rich

Le Premier, Israël Horovitz

Ne coupez pas mes arbres (Lloyd George Knew My Father),William Douglas Home

15 février 2011

"A la ville comme à la scène"

DSC01784Ma lecture de la semaine : une biographie de l'auteur de théâtre Pierre Barillet, plus connu sous le nom de Barillet et Grédy pour avoir écrit en tandem pendant de nombreuses années avec Jean-Pierre Grédy.

Ce livre est une mine d'informations, je n'ai pas arrêté de prendre des notes. Il offre un sympathique clin d'œil sur la vie théâtrale des années 1944 à nos jours. Voici la quatrième de couverture qui en parle beaucoup mieux que moi :

"Soixante ans de théâtre et de vie parisienne.

Pierre Barillet nous raconte le parcours d'un auteur dramatique, de la Libération à nos
jours : une farandole de comédiens, de célébrités, de figures moins connues,
qu'il a admirés et aimés et dont il brosse les portraits avec autant d'humour que d'émotion.

En 1950, il signe avec Jean-Pierre Grédy une première comédie. Le Don d'Adèle
leur vaut d'emblée la célébrité. Ils multiplient les succès. Fleur de Cactus connaît
un retentissement mondial.

Spectateur attentif, Pierre Barillet ressuscite le souvenir de soirées mémorables.
S'il rend à Jean Anouilh et aux auteurs dits de Boulevard la place qu'ils méritent,
il s'intéresse tout autant aux entreprises plus audacieuses, plus engagées.

Parallèlement à son parcours personnel qu'il indique en filigrane, il décrit l'évolution
de l'homosexualité dans le théâtre, sujet encore tabou, il y a un demi-siècle.

Il évoque aussi le Paris des années 50, ses fêtes luxueuses, ses frivolités;
ses expériences professionnelles à Broadway, la faune d'Hollywood;
l'explosion de Mai 68 et son influence sur la création.

A la ville comme à la scène, une vie remplie de rencontres exceptionnelles,
d'amitiés, de quelques chagrins, mais surtout d'enthousiasmes et de passions."

Tout le beau monde qu'il a fréquenté, les légendes qu'il a connues, impressionnant !

Comme je disais, j'ai pris pas mal de notes, surtout des pièces mentionnées que je souhaiterais lire ou relire (voir message qui suit).

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