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La tête à rire
30 avril 2012

Comment faire pour écrire une pièce de théâtre ? (2)

Il me semble que pas mal de gens se posent la question. J'ai fait un message très général l'année dernière sur le sujet (message du 29 janvier 2011), mais je vais approfondir un peu.

Quelqu'un m'a demandé l'autre jour si je pouvais lui conseiller un livre ou un site en français sur l'écriture théâtrale, détaillant une méthode de travail précise, et je n'ai pas pu. Je n'ai rien lu sur le sujet en français, ne connais pas de sites Internet en français consacrés à la dramaturgie, j'ai lu trois bouquins en anglais, c'est tout.

Je vais me replonger dans ces bouquins, dans la théorie, et essayer de faire des messages pour chaque étape (idée, personnages, dialogues, etc.), un jour la théorie, le lendemain la pratique, à savoir mon point de vue et comment je fais.

La théorie, c'est bien joli, il faut la connaître, mais si elle bloque et empêche d'écrire, ce n'est pas très malin. Il faut la digérer, mais chacun est différent et il faut trouver sa manière de faire.

A bientôt pour le premier message qui sera probablement sur l'idée, à l'origine de tout.

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29 avril 2012

"A vos plumes"

a_vos_plumes_2A vos plumes est une pièce que je suis en train d'écrire sur les effets de l'écriture sur une personne bien portante. En fait, sur trois personnages en pleine santé qui décident un jour de se réunir pour s'aider à pondre quelque chose.

Cette pièce ne sera jamais montée, voire ne sortira pas de mes tiroirs, mais est un bon exercice quand on veut se défouler. Je la mettrai peut-être à la disposition de ceux qui écrivent, juste pour voir s'ils s'y retrouvent un peu. C'est complètement débile, mais cela montre à quel point l'écriture est une activité frustrante qui peut rendre maboule.

Le premier jet est fait, c'est un sujet qui m'inspire !

28 avril 2012

Une bêtise structurée !

Quand on me demande quel genre de pièce j'écris, j'ai de plus en plus envie de répondre que j'écris des "bêtises structurées".

"Vaudeville", "théâtre de boulevard", à force on ne sait plus trop ce que cela veut dire. En revanche une "bêtise structurée" me semble remettre les pendules à l'heure. On y parle de sujets frivoles, d'histoires qui ne vont pas changer la planète, mais avec une certaine structure, un arc de pensée, une colonne vertébrale qui soutient tout ça derrière.

Est-ce que cela me déprime de me qualifier d'auteure de "bêtises structurées" ? Mais pas du tout ! Si on réfléchit bien, L'importance d'être constant d'Oscar Wilde est une grosse "bêtise structurée". La structure de ce texte mérite une médaille, il en a fallu de la réflexion pour mener cette histoire fantaisiste à bien.

Voilà où j'en suis à la minute.

27 avril 2012

Têtue

Pour faire suite à mon message d'hier sur la nécessité de tout reprendre à zéro, je ne compte plus le nombre de fois où j'essaie de faire quelque chose de mon histoire Mariage en vue.

J'ai commencé par écrire il y a quelques années un scénario qui n'était pas terrible. Pour préciser ce que je voulais dire, j'en ai fait une pièce de théâtre qui tient la route, je crois. Cela m'a permis de mettre le doigt sur le noyau du récit.

Et hop, depuis c'est reparti, j'essaie d'en refaire un scénario de film. J'en ai fait aussi une pièce de théâtre pour deux personnages féminins. Impossible de laisser cette histoire de côté.

L'avantage d'être complètement bornée, c'est qu'on apprend à apprécier les différentes exigences d'un scénario et d'une pièce de théâtre. On apprend aussi énormément en corrigeant ses erreurs. On peut apprécier le chemin parcouru, ce qui clochait et devait être viré, comparer le fouillis de départ et la solution finale.

Je ne suis contente que de la première moitié de mon nouveau scénario, j'ai donc encore du pain sur la planche.

C'est bizarre ces histoires qui ne nous lâchent pas...  

26 avril 2012

Tout virer et recommencer

empty_pageEh oui, parfois il faut savoir le faire.

Planquer tout ce qu'on a écrit et repartir à zéro devant une feuille blanche, une nouvelle page Word, pour revenir à l'essentiel. Cela m'arrive souvent, je dois dire, surtout pour les scénarios.

Ce n'est pas marrant à faire mais parfois c'est la seule solution si on ne veut pas s'embourber à jamais dans un projet.

Réécrire sans faire référence à aucune note permet de repartir du bon pied, je trouve.

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25 avril 2012

Oscar Wilde

DSC02977Pour ceux qui souhaiteraient mieux connaître le théâtre d'Oscar Wilde, ce bouquin est très chouette et réunit quatre de ses comédies, à savoir :

L'éventail de Lady Windermere
Une femme sans importance
Un mari idéal
L'importance d'être constant

J'ai déjà L'importance d'être constant dans une autre collection, mais les trois autres me tentaient bien...

J'aime bien cette collection Babel, des éditions Actes Sud. Elle est très bien faite et on n'a pas besoin d'une loupe pour déchiffrer les textes. Bravo au maquettiste qui a conçu cette collection !

24 avril 2012

Quelques scènes...

dustbinAbandonner un projet, ne pas tout virer à la poubelle ne tient pas à grand-chose. Quelques scènes prometteuses, quelques moments chouettes qui restent dans le ciboulot et qui empêchent de le lâcher complètement.

J'ai deux scénarios comme ça. Je les ai commencés il y a pas mal de temps, mais me suis complètement noyée dedans, impossible de remonter à la surface pour y voir plus clair. De temps en temps, j'y repense, me demandant si je ne devrais pas les oublier ou les classer dans un dossier Mission impossible, mais du fait de quelques scènes, de quelques retournements de situation que j'aime bien, je me dis : non, il y a quelque chose à creuser.

Il faut juste que je trouve l'énergie de me décarcasser pour réfléchir au reste, combler le vide entre ces scènes qui me paraissent intéressantes.

Juste une remarque en passant...

22 avril 2012

"L'importance d'être constant" (7H, 4F)

DSC01969L'importance d'être constant (titre original : The Importance of Being Earnest) d'Oscar Wilde, une pièce en quatre actes publiée par les éditions Garnier Flammarion (édition bilingue).

Je suis bien contente d'avoir acheté ce bouquin lors d'un dernier passage à Paris. On ne sait jamais avec les textes plus classiques s'ils ne vont pas être un peu durs à cuire, d'un style trop ancien. Je ne suis pas une intello du théâtre, je me demande juste si un texte me plaît ou pas. Eh bien, oui, j'ai trouvé cette pièce marrante. Elle est pleine de fantaisie, d'un rythme enjoué et il y a de très bonnes reparties.

Ce n'est pas une histoire facile à résumer. Toute la pièce découle de la manie que Jack et Algernon ont prise d'inventer un personnage pour se faciliter la vie. Lorsque quelque chose les ennuie ou lorsqu'ils veulent fuir leurs responsabilités, ces deux amis aristocrates évoquent l'existence d'un personnage fictif pour partir de chez eux.

Jack habite en province et prétend avoir un frère nommé Constant à Londres. Algernon, lui, habite Londres et fait croire à tout le monde qu'il a un ami à la santé précaire, M. Bunbury, qu'il doit toujours visiter en province. Tout se complique lorsque les deux tombent amoureux et qu'Algernon, se retrouvant chez Jack, se fait passer pour son frère Constant (ah oui, il faut suivre).

Jack veut dire la vérité à sa belle, à savoir qu'il n'a pas de frère nommé Constant, mais quand il arrive chez lui en criant haut et fort que Constant est décédé, ben oui, Algernon est toujours là et tout le monde le connaît sous le nom de Constant.

Ajoutons que les deux filles dont ils sont amoureux semblent particulièrement aimer le prénom Constant, que Jack est orphelin et ne sait pas trop son origine, bref, on passe son temps à s'accrocher et à se demander comment ces deux compères vont se sortir de la panade dans laquelle ils se sont fourrés.

Un texte pour les gens qui apprécient les pièces d'un rythme enlevé, les farces intelligentes. Moi qui aime les textes pleins de fantaisie, je n'en ai pas cru mes yeux !  Une chose est sûre : on doit bien rigoler en allant voir cette pièce.

Une petite mention pour cette collection bilingue de Garnier Flammarion qui est très bien faite. C'est sympa d'avoir le texte original en anglais sur la page de gauche et la traduction à droite. Ne connaissant pas grand-chose sur le théâtre d'Oscar Wilde, le dossier m'a permis de combler mes lacunes.

L'importance d'être constant est la dernière pièce d'Oscar Wilde (1895). A lire ou à voir, car ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre un texte intelligent qui fait sourire.

21 avril 2012

Connaître le nom de ses personnages !

C'est très mauvais de changer le nom de ses personnages en cours de route !

Lorsque j'ai écrit ma pièce Béguin il y a deux ans, j'ai changé le nom d'un des personnages presque à la fin, car je ne l'aimais plus. Résultat des courses ? Je ne me suis jamais habituée à ce changement, et je l'ai appelé par son ancien nom dans ma liste des personnages, ici sur ce blog.

Je viens de tout rectifier heureusement, mais pour éviter de s'emmêler les pieds, il vaut mieux nommer ses personnages une fois pour toutes et s'y tenir...

20 avril 2012

Protéger un texte

Un problème qu'on doit se poser à un moment ou à un autre : comment protéger un texte ?

J'avoue que jusque-là, pour moi, c'était très simple. Je m'envoie mes textes à moi-même, le cachet de la poste faisant foi. Le procédé est aisé, je mets mon texte dans une enveloppe, écris mon adresse dessus et hop,  j'attends que le paquet me revienne pour l'archiver sur mes étagères. Je ne l'envoie même pas en recommandé.

Le problème c'est que je viens de lire un message sur un blog compliquant cette procédure quelque peu. Voici ce que la personne dit de faire :

► Enfermer son texte dans une enveloppe

► Apposer sa signature à cheval sur la fermeture

► Indiquer son nom, prénom, adresse, titre de l'ouvrage et mentionner les première et dernière phase de son texte (ah bon ?)

► Glisser cette enveloppe dans une seconde à son adresse

► Envoyer le tout en courrier recommandé avec accusé de réception

► Coller l'accusé de réception sur le paquet quand il nous est retourné

Pas hyper compliqué, mais tout de même, est-ce bien nécessaire ?

J'aimerais protéger de manière plus sérieuse une pièce que je vais bientôt terminer. Normalement, je ne me soucie pas trop de ce genre de choses, car mes pièces ont offert jusque-là un point de vue différent sur des situations déjà traitées, mais là, le concept est original et je vois bien un studio de cinéma me piquer l'idée pour en faire un scénario derrière mon dos.

J'ai essayé de voir sur Internet ce qu'on proposait et il y a plusieurs possibilités. On peut déposer son texte à la SACD (45 euros pour une protection de 5 ans), déposer son texte éléctroniquement pour faire preuve d'antériorité (10 euros par an), louer un coffre-fort au mois (de 3 à 6 euros par mois)... Je vais étudier la question de plus près. A voir donc.

19 avril 2012

Traverse Theatre, Edimbourg

Words, Words, Words, voici le nom donné à une initiative intéressante du Traverse Theatre à Edimbourg.

Au lieu d'encourager les envois de manuscrits terminés, complets, ils acceptent les soumissions d'un maximum de cinq à dix pages (5 à 10 minutes), au stade du projet. Les projets sélectionnés sont lus et joués devant un public (qui veut peut venir et donner son avis).

Une démarche dynamique qui devrait être copiée en France, il me semble. Pour ceux qui souhaitent en savoir plus, voir ici.

Bien sûr, les soumissions doivent se faire en anglais. Je vais essayer de traduire le début d'une de mes pièces en cours et leur envoyer pour voir ce que ça donne. A suivre donc.

18 avril 2012

Pièces de théâtre comiques : derniers achats

Voici quelques pièces comiques récemment achetées :

DSC02065DSC02075DSC02079

Miam-Miam de Jacques Deval, Classe terminale de René de Obaldia et C'est encore mieux l'après-midi de Ray Cooney. Mon avis sur ces pièces très bientôt.

17 avril 2012

Mise en page d'une pièce de théâtre

La présentation d'une pièce de théâtre est moins rigide que celle d'un scénario (heureusement !).

Comme pour mes scénarios, je me suis fait un gabarit de mise en page que j'utilise pour chacune de mes pièces. Ce gabarit est une compilation des conseils donnés dans trois livres anglais sur l'écriture théâtrale et sur le site du concours des Journées de Lyon des auteurs de théâtre.

Voici une vue des livres en anglais consultés :

Tout d'abord, How to write a play (David Carter) :

DSC02956Je me suis aussi inspirée des présentations conseillées dans Creative Writing (Dianne Doubtfire, Creative_writing) et Writing a play (Steve Gooch, writing_a_play).

Je mets donc les noms de personnages sur la gauche et mes dialogues sur la même ligne sur la droite. Je ne fais pas de grands interlignages comme sur la photo ci-dessus car ce n'est pas nécessaire (et c'est plus long à imprimer et à photocopier).

Je ne mets pas non plus mes personnages en CAPS et je ne souligne rien, car je préfère la présentation conseillée sur le site du concours des Journées de Lyon des auteurs de théâtre (voir ici, cliquer sur "Concours", puis "Règlement", voir le paragraphe 2, la partie sur la "Typographie et mise en page").

J'ai fait une compilation de tous ces conseils, et voici donc mon gabarit pour ceux que ça intéresse, voir Gabarit_ici.

Je ferai bientôt un autre message sur la page de titre, les indications de décor et la liste des personnages... A suivre donc. 

16 avril 2012

David Lodge

Pour faire suite à mon message d'hier...

J'ai quand même suffisamment aimé La vérité toute nue pour acheter deux autres pièces de David Lodge :

DSC02970DSC02971

L'atelier d'écriture et Pensées secrètes.

A bientôt donc pour mon avis sur ces deux textes.

15 avril 2012

"La vérité toute nue" (2H, 2F)

DSC02941La vérité toute nue (titre original : Homes Truths) de David Lodge, une pièce en deux actes publiée par les éditions Rivages.

On m'a prêté cette pièce pour que je la lise et je trouve que c'est un texte amusant, sauf que la fin est ratée à mon avis. On parle d'un sujet pendant 85% de la pièce et à la fin, comme si l'auteur avait eu du mal à conclure son texte, on arrête de s'intéresser aux personnages que l'on suivait jusque-là pour parler d'autre chose, ce qui est un peu bizarre et laisse le lecteur sur sa faim. C'est ce que j'ai ressenti à la lecture en tout cas.

Voici l'histoire : Adrien vit à la campagne avec son épouse, Eléonore. Adrien est un auteur qui s'est retiré du monde après un grand succès littéraire des années plus tôt. Leur ami Sam, lui, est toujours dans le bain, écrivant des séries télé à succès. Il débarque chez eux un beau jour, furieux de s'être fait piéger par Fanny Tarrant, une journaliste de presse à scandale. Il s'est un peu trop laissé aller lors de leur interview et Fanny Tarrant s'est bien servie de ses confidences. Pour se venger, il demande à Adrien de lui tendre un piège et de la faire aussi parler d'elle. Fanny Tarrant ayant fort aimé le roman à succès d'Adrien, elle est partante pour l'interviewer. Fanny et Adrien prennent rendez-vous. C'est une drôle d'interview, du genre qui réussira à piéger l'autre, jusqu'à ce qu'une nouvelle (la mort de Lady Di) leur tombe dessus et leur fasse oublier leur petit jeu.

J'ai trouvé ça drôle l'interviewé qui veut renverser les rôles et n'arrête pas de poser des questions à la journaliste, mais la fin pour moi est bizarre. On assiste au jeu de manipulation entre Adrien et Fanny puis on oublie un peu tout ça pour parler de la mort le matin même de Lady Di.

C'est pourtant une pièce qui s'interroge sur des sujets intéressants, comme la réussite, la difficulté des rapports entre la littérature et la critique, le rôle de la presse à scandale. Pour résumer, cette pièce aurait pu être super, mais la fin m'a déçue.

14 avril 2012

Donald Margulies

Je ne connais pas cet auteur, mais on vient de me conseiller de le lire. J'aime bien lorsque l'on me suggère des idées de lecture, car j'ai tendance sinon à toujours choisir le même genre de texte.

Donc je vais soit acheter En toute confiance, Brooklyn Boy ou Dîner entre amis, en fonction de ce que je trouve.

A suivre donc.

13 avril 2012

Vendeurs de pièces de théâtre sur ebay (2)

angry_2Encore un message destiné à ceux qui mettent des pièces de l'Avant-Scène en vente en ligne.

Une pièce neuve chez l'éditeur coûte 12 euros. Elles sont bien souvent encore disponibles des années après leur parution. Alors cela m'énerve de voir des gens qui mettent des pièces de 2010 en vente à 35 euros !!!

Pourquoi irait-on acheter une pièce d'occasion, déjà lue, à trois fois le prix d'une pièce neuve ???

Pour les ouvrages épuisés ou très rares, je peux comprendre (bien que...), mais dès pièces encore disponibles en magasin, cela n'a vraiment aucun sens. Voilà, je le redis.

12 avril 2012

Faire mousser...

question_du_jourEst-ce que c'est là le talent du dramaturge et du scénariste ? L'art de faire mousser quelques infos, de les épuiser au maximum ?

Comme je le disais hier, je trouve qu'on dit peu dans une pièce. Il y a quelques fils qu'il faut savoir étirer au maximum, au lieu de les multiplier.

C'est assez simple dans le fond. C'est la tête qui complique tout.

11 avril 2012

On ne dit pas grand-chose

Après avoir écrit plusieurs pièces, je me rends compte qu'en fin de compte, dans une pièce, on ne dit pas grand-chose.

On commence pourtant avec un tas de trucs à raconter, de nombreux brouillons et différentes directions, et puis on coupe, on agence, on affine pour ne laisser que très peu dans la version finale.

Le tout s'épure, il ne reste que le dixième de ce qu'on avait au début

J'ai lu quelque part que le grand défaut des scénaristes et dramaturges débutants est de vouloir trop en dire. Il faut pourtant avoir assez de matière pour arriver à un nombre de pages suffisant, tout en s'activant en même temps pour en virer le maximum. Pas étonnant qu'on s'y perde.

10 avril 2012

Autocritique

Je ne sais pas si cela va intéresser quelqu'un, mais je vais tenter d'analyser de ce qui cloche dans mes trois pièces mentionnées le 2 mars, à savoir Les affaires de Lucie, En bons voisins, et Joyeuse retraite.

Le début de la première est encore trop compliqué. Je vais donc le réécrire et changer l'extrait que je donne sur ce blog. Je n'aime plus non plus l'histoire de sa rupture avec Lucie, allez hop ! on va virer tout ça.

En bons voisins est un peu trop gentillet, manque de peps. Il faut que je rajoute des scènes plus percutantes.

Joyeuse retraite tombe à plat. J'ai la structure, le canevas, tous les éléments de l'histoire, mais le crescendo est manquant. Tout prépare à une grande scène de confrontation, mais oups, je ne l'ai pas écrite. Cette pièce est un peu comme une fête d'anniversaire à laquelle on serait invité. On s'habille, va à la fête, rencontre des gens, boit un coup, parle de nos projets, et au moment de rentrer chez soi, on se dit : attends-là, on ne devait pas fêter l'anniversaire de quelqu'un ? L'essentiel manque, quoi.

Ce n'est pas grave, encore une claque en pleine figure. Je me réconforte en me disant qu'au moins je me rends compte du problème, un peu tard, mais vaut mieux tard que jamais. J'ai aussi réagi en mettant désormais mes textes six mois au placard, donc il y a de l'espoir que ce problème ne se reproduise plus...

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