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La tête à rire
16 septembre 2012

Fin 2013 !

calendarAu mois de juin, j'ai contacté une association soi-disant à l'affût de nouveaux textes, se présentant comme une "oreille" pour les auteurs. Je leur ai demandé si pouvais leur envoyer un texte, ils m'ont répondu que oui, mais voilà que je reçois un mail de leur part avant-hier me disant de ne rien leur faire parvenir avant la fin 2013 car ils sont débordés !

Quelque chose cloche dans leur organisation, il me semble, s'ils sont tellement à la bourre... et bonjour les encouragements. Oh oui, attendez 18 mois et on avisera !

Qui dit mieux ? Réponse en 2014 ? Après les prochains jeux Olympiques ?

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21 août 2012

Deux jours opposés

Les jours se suivent et ne se ressemblent pas. La semaine dernière, j'ai passé une journée où le ciel était nuageux, on va dire, impossible de faire quoi que ce soit, la machine à laver le linge était coincée sur un cycle de lavage de 2h30 et ne voulait rien faire d'autre que bouillir tout à 90 degrés et il y avait une petite flaque d'eau venant du sèche-linge ... Impossible d'avancer quoi que ce soit côté écriture non plus...

Le lendemain, c'est le contraire, tout me sourit, la machine à laver se décoince miraculeusement, plus de fuite du sèche-linge et tout est clair, je peux tout faire avancer.

"Passionnant" ! j'entends dire.

Mais oui, comment deux jours peuvent être aussi différents ? Il y a de quoi écrire avec des mystères pareils !

8 août 2012

Deux visions

Je me rends compte que je pourrais écrire une version plus triste de mes comédies, proposer deux versions d'un même texte, une comique et une plus sérieuse.

Une comédie serait un drame déguisé ?

J'ai dû sûrement lire ça quelque part mais cela me perturbe de réaliser qu'il n'y a pas une version définitive d'un texte, tout peut fluctuer, on peut écrire la même histoire de deux tons différents.

Je ne suis pas sortie de l'auberge si je vois multiples versions dans chaque texte que j'écris.

26 juillet 2012

Finir une histoire

Si on pouvait vendre un scénario au poids, je pourrais essayer d'en vendre deux. J'en ai quatre moitiés ! 220 pages de continuités dialoguées.

Malheureusement, cela ne marche pas comme ça. Tant qu'on n'a pas terminé une histoire, on n'a rien. Peut-on dire qu'on écrit si on n'a que des petits bouts de rien dans ses tiroirs ? Non.

Je ne sais pas combien de temps j'ai mis à écrire ma première pièce, bien trop longtemps, c'est sûr, mais je savais que si je ne la terminais pas, je n'en terminerais aucune.

Comme je l'ai déjà dit, je ne trouve pas facile de boucler un récit. Il faut de la discipline, se pousser à y aller. Une histoire coince toujours à un moment donné et la reprendre, alors qu'on sait que c'est le grand fouillis, relève parfois des travaux forcés.

A présent par exemple, j'aimerais faire autre chose que des pièces à 5 personnages, mais j'ai deux projets que j'ai commencés je ne sais même plus quand (trois ans ?) et si je les laisse dans leur état actuel, à quoi ils me servent sinon qu'à encombrer mon salon et à me stresser dès que je passe devant ?

Donc je me force à les finir. Si je n'avais pas cette discipline, je crois que j'aurais 25 premiers actes et c'est tout. C'est pour cette raison que, malgré mon message, il y a plusieurs mois, annonçant haut et fort que je mettrais des pièces à 10 personnages en ligne prochainement, je n'ai pas beaucoup avancé.

10 juillet 2012

L'écriture... et le jogging

jogging_04_1_Pourquoi quand on dit qu'on fait régulièrement du jogging, les gens sont admiratifs, mais quand on dit qu'on aime écrire, ce sont les grandes grimaces ou expressions figées sur les visages de nos interlocuteurs ?

C'est curieux ce phénomène et cela devrait être le contraire. Il ne faut pas beaucoup de mérite pour se mettre en petite tenue pour aller se dégourdir les jambes, alors qu'il faut beaucoup de détermination pour essayer de pondre quelque chose, non ?

Pourquoi cette gêne lorsqu'on on mentionne un intérêt pour l'écriture ? Qu'est-ce que les gens se disent intérieurement pour faire cette tête-là ? "Encore une lunatique qui pense avoir quelque chose à dire ?"

Je vais peut-être mentir à partir de maintenant et dire que je suis une grande passionnée de gymnastique... A voir.

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23 juin 2012

Une certaine flexibilité

Pour faire suite à mon message d"hier...

Je ne pensais pas qu'une histoire pour le théâtre pouvait être aussi flexible que ça. Je pensais qu'une fois terminé, ça y est, le texte était immuable, on ne pouvait en faire qu'une seule version. Ce n'est pas toujours le cas.

C'est pour ça que les troupes amateur ne devraient pas exclusivement faire leur choix de pièces en fonction de leur distribution, je trouve. Pour les textes modernes, encore non publiés, il est parfois possible d'ajouter des personnages à la demande, de faire preuve d'une certaine flexibilité. Voilà, c'est dit.

22 juin 2012

La bonne distribution ?

distributionQuelle est la bonne distribution d'une pièce ?

Je me rends compte que certains textes peuvent être écrits avec une distribution modulable.

Je me fais cette réflexion du fait de ma pièce En bons voisins. C'est à la minute une pièce à deux personnages, mais je pense qu'elle serait mieux avec quatre. Je pourrais aussi l'écrire pour 6, voire 8 comédiens. Tous les gens dont on parle dans le texte pourraient aisément faire un petit passage dans le salon du personnage principal... alors quelle est la meilleure distribution ? Je n'en sais trop rien !

Certaines histoires ont une distribution arrêtée, fixe, d'autres peuvent se décliner en plusieurs versions. Voilà le constat du jour.

8 juin 2012

Faire le vide

Quand on termine une pièce, on est content d'avoir pu faire aboutir un projet, mais aussi de s'en débarrasser dans sa tête.

Je me rends compte que les pièces inachevées encombrent le cerveau. Je suis toujours étonnée, lorsque je reprends un texte écrit des années plus tôt, de voir que tout est encore frais dans ma mémoire. Le travail peut être repris comme si on l'avait mis de côté quelques jours auparavant.

On ne peut vraiment se libérer d'une pièce que lorsqu'on écrit le mot FIN. Voilà pourquoi il faut boucler tous les projets que l'on commence, rien que pour se sentir plus légère.

3 juin 2012

Personnage ou marionnette ?

question_du_jourPour reprendre mon message d'hier...

Certains dramaturges disent que ce sont les personnages, leur personnalité, leurs traits de caractère qui écrivent une pièce (je pense à Neil Simon par exemple), d'autres comme Ray Cooney qui considèrent les personnages comme des marionnettes qui doivent se plier à ce qu'il veut en faire.

Soit, avant de commencer à écrire une ligne de dialogue, on définit les personnages jusqu'au bout, on connaît tout d'eux et on se laisse porter par ce qu'ils ont à dire, soit on se lance et les personnages, leur métier ou autres doivent rentrer dans le moule, ne pas nous embêter, se sacrifier en gros au bon fonctionnement de la mécanique générale. Je parle surtout de comédies.

Comme je l'ai dit hier, j'ai tendance à être du second groupe, je change un peu tout quand ça m'arrange pour que l'enchaînement des situations fonctionne. Mais est-ce que j'ai raison ? Je n'en sais rien !

1 juin 2012

L'alternance : l'antidéprime (2)

laughing_smilieAlterner les projets est une bonne manière de ne pas déprimer.

Cela permet d'éviter les grandes périodes de vide au moment de l'écriture, car il y a toujours un projet qu'on arrive à avancer. Lorsque l'on est bloqué sur un, on passe à un autre. Lorsqu'on est d'humeur à faire un travail bien particulier, il y a toujours un projet qui demande ce travail-là.

Cela permet aussi d'éviter la déprime durant la phase marketing, car on est déjà passé à autre chose lorsqu'on fait circuler son texte et on évite l'effondrement total si, par malchance, on vient de compléter un projet et une idée similaire est en train de sortir sur nos écrans. Ne pas passer tout son temps sur un même projet permet de ne pas attendre monts et merveilles d'un seul texte.

Comme une bonne entreprise, il faut diversifier, ne pas mettre ses œufs dans le même panier. Il y a aussi le fait qu'on ne sait jamais ce qui va plaire et je dirais même que la vie étant mal faite, ce qui nous plaît le plus risque d'être ce qui est le moins populaire, donc il faut s'essayer à différentes histoires, différents sujets.

Il n'y a pas pour moi autre manière de faire.

31 mai 2012

Ecrire pour soi : l'antidéprime

laughing_smiliePourquoi ? Parce qu'écrire est déprimant et la phase marketing n'arrange rien.

Au début, quand on se confronte à l'écriture et à l'imperméabilité du marché, on passe forcément par des périodes de grande lassitude, mais je me rends compte qu'il y a plusieurs choses qu'on peut faire pour éviter de sombrer.

Donc, le premier conseil que je donnerai c'est d'écrire pour soi, de ne rien attendre de miraculeux de qui que ce soit.

A un moment donné quand on écrit, on doit se questionner sur ses motivations et se demander ce qu'on ferait si on pouvait se projeter dans le temps et voir par exemple que tous nos efforts ont été pour rien. Ferait-on pareil ou changerait-on d'activité ?

Moi, je ferais exactement pareil. Ce n'est pas le succès ou manque de succès qui dicte comment je passe mes heures de temps libre. Je suis intéressée par la mécanique théâtrale (je ne sais pas trop pourquoi) et donc je continue à voir ce qui se passe lorsque je réunis divers personnages sur scène.

Bien sûr qu'il faut écouter les sons de cloche qu'on reçoit et se tenir au courant de ce qui se passe dans les théâtres, mais la meilleure manière pour moi de ne pas déprimer c'est de me concentrer sur ce que je fais ou ai envie de faire. L'important c'est de boucler un texte, d'apprendre, d'évoluer. Ce qui se passe quand un texte sort de chez soi dépend de tellement d'autres facteurs qu'il vaut mieux ne pas trop y penser.

25 mai 2012

Surprise finale

Pour compléter mes deux derniers messages, j'aimerais savoir si c'est normal d'être toujours un peu surpris par ce qu'on vient d'écrire. J'ai l'impression que lorsque l'on finit un texte, on est toujours un peu intrigué par le résultat.

Ce n'est jamais complètement ce qu'on voulait faire, ce qu'on pensait qu'on allait dire. On a empreinté des voies différentes qu'on s'imaginait, par nécessité pour que le texte soit lisible et fonctionne bien, par l'histoire quoi, et on arrive à la fin en se disant : "tiens, tiens, tout ça m'a amené là ?"

Peut-être que ce phénomène s'atténue avec les années, j'en sais rien mais, comme je le disais avant-hier, je suis toujours un peu effarée par ce que je produis. Je ne reconnais ni les idées que j'ai, ni ce qu'elles deviennent à la fin. J'aimerais maîtriser un peu plus le processus d'écriture, je dois dire.

22 mai 2012

Ecriture en trois jours

Eh oui, c'est arrivé. J'ai écrit une pièce en trois jours. Je m'empresse de dire qu'elle est peut-être complètement nulle, mais mon premier jet est là, j'ai mes trois actes.

Cela fait du bien de voir qu'on s'améliore avec le temps, que le rythme s'accélère avec les années. Bûcher des heures entières sur des premiers textes est utile car cela permet de faciliter les voyages qui suivent. Il ne faut donc pas désespérer, on devient plus habile plus on bosse, ce qui est une motivation comme une autre...

16 mai 2012

Ecrire... en somnolant

snoozingEh oui, c'est possible. Pas au volant de sa voiture, ça c'est à éviter, mais chez soi avant de s'endormir.

Il y a un moment avant de dormir ou de se reposer où il est possible de régler pas mal de problèmes au niveau de l'écriture ou de la structure d'une pièce, je trouve.

Tout est plus clair quand notre nez n'est pas collé devant ce qu'on fait. Cela devrait être le contraire, mais pour avoir une vue d'ensemble des choses, il faut laisser son texte sur son bureau et aller voir ailleurs ce qui s'y passe, voire piquer un petit somme. Curieux.

6 mai 2012

Serrer, lâcher, serrer...

A la télé, hier, un chef entrepreneur britannique décrivait sa technique commerciale ainsi : serrer, lâcher, serrer. Avant de mettre un nouveau plat sur le marché, sa démarche de mise au point du produit se fait en trois étapes :

► La première étape est de serrer, à savoir convoquer toute son équipe et bien leur expliquer ce qu'il souhaite, quel plat il veut lancer.
► La seconde est de les lâcher dans la nature pour qu'ils mettent au point le plat en question.
► La phase finale est de regrouper tout le monde et de s'assurer que les consignes ont bien été suivies, que tout le monde est bien sur la même longueur d'onde.

J'en conclus donc qu'écrire une pièce se rapproche énormément de la démarche de lancement d'un plat culinaire.

► Premier acte ou exposition, il faut bien maîtriser où l'on va, ne pas s'éparpiller et éviter de s'orienter vers de fausses pistes.
► Second acte ou développement, on se laisse un peu aller, on lâche les reines.
► Dernière étape, il faut resserrer les boulons et arriver à une conclusion qui découle de ce qui précède et qui soit bien claire.

Un rapprochement un peu bizarre, qui n'a peut-être aucun sens, mais trop tard, c'est dit...

4 mai 2012

Pourquoi écrit-on ?

question_du_jourMessage très ambitieux, je sais bien, mais je vais essayer d'analyser les motivations qui peuvent pousser quelqu'un à s'orienter vers l'écriture.

Je trouve toujours ça bizarre de prendre du retrait par rapport à la vie quotidienne pour mettre des mots sur papier. L'envie de communiquer oralement, spontanément, me paraît plus normale, davantage dans l'ordre des choses.  Pourquoi irait-on s'enquiquiner à quitter son entourage pour s'enfermer dans un bureau et essayer de donner forme à ce qu'on a dans la tête, alors que l'on peut parler à tout le monde directement, sans stylo, sans ordinateur, sans rien ?

Ce message est venu de mon message du 21 décembre 2011. Je parlais de deux faits divers particulièrement horribles et je disais que j'écrivais peut-être pour trouver un sens au monde qui m'entoure. Mmm, je ne sais pas si c'est la raison première, mais on peut dire sans se tromper que si on écrit, c'est qu'on a un problème.

Oui, oui, on a un problème, il ne faut pas se le cacher. Pourquoi vouloir refaire le monde ainsi ?

Peut-être que cela vient d'une certaine insatisfaction de la vie de tous les jours, de la réalité, qui est parfois horrible, c'est vrai, mais aussi un peu barbante. S'il n'y avait pas plus intéressant sur Terre que de bosser, dormir et faire son supermarché, pas de défi plus important, on s'ennuierait sérieux.

Il y a aussi l'envie de créer un univers plus sympa, qui nous ressemble davantage, un certain idéalisme qui pousse à se plonger des heures durant dans un monde plus agréable, moins injuste.

N'écrivant que des comédies, mon envie d'écrire vient sûrement de l'envie de rire davantage. Même si je suis toute seule à rire devant mon écran d'ordinateur (ce qui est un peu inquiétant, je sais bien), c'est aussi fort agréable.

Un besoin de rigolade donc, un besoin d'évasion qui touche certains plus que d'autres, l'écriture offrant une porte de sortie idéale.

C'est vrai que si se retirer du monde pour écrire est un peu bizarre, aller bombarder les gens dans la rue avec nos angoisses n'est pas vraiment faisable. Je ne vois pas Woody Allen accoster des gens à la sortie d'un bus pour leur demander : "Hé, les gars ! Vous ne trouvez pas la vie un peu absurde, vous ?". Ben non, tout le monde partirait en courant ou se précipiterait sur le pauvre gendarme du coin. Pour dire plus ou moins la même chose, il faut qu'il s'enferme dans son bureau pendant des jours pour déguiser ses angoisses et les rendre plus aptes à être partagées avec d'autres.

La communication orale n'est donc pas suffisante, on a besoin d'y mettre les formes pour s'exprimer pleinement. Ah ! là ! là !, ce n'est pas simple tout ça !

Peut-être qu'il y a aussi l'envie de laisser quelque chose de tangible dans ce monde, envie de laisser une empreinte quelque part ? Peut-être que la question devrait être : pourquoi ce besoin d'être créatif ? Allez, j'arrête là, car le mal de crâne n'est pas loin...

27 avril 2012

Têtue

Pour faire suite à mon message d'hier sur la nécessité de tout reprendre à zéro, je ne compte plus le nombre de fois où j'essaie de faire quelque chose de mon histoire Mariage en vue.

J'ai commencé par écrire il y a quelques années un scénario qui n'était pas terrible. Pour préciser ce que je voulais dire, j'en ai fait une pièce de théâtre qui tient la route, je crois. Cela m'a permis de mettre le doigt sur le noyau du récit.

Et hop, depuis c'est reparti, j'essaie d'en refaire un scénario de film. J'en ai fait aussi une pièce de théâtre pour deux personnages féminins. Impossible de laisser cette histoire de côté.

L'avantage d'être complètement bornée, c'est qu'on apprend à apprécier les différentes exigences d'un scénario et d'une pièce de théâtre. On apprend aussi énormément en corrigeant ses erreurs. On peut apprécier le chemin parcouru, ce qui clochait et devait être viré, comparer le fouillis de départ et la solution finale.

Je ne suis contente que de la première moitié de mon nouveau scénario, j'ai donc encore du pain sur la planche.

C'est bizarre ces histoires qui ne nous lâchent pas...  

26 avril 2012

Tout virer et recommencer

empty_pageEh oui, parfois il faut savoir le faire.

Planquer tout ce qu'on a écrit et repartir à zéro devant une feuille blanche, une nouvelle page Word, pour revenir à l'essentiel. Cela m'arrive souvent, je dois dire, surtout pour les scénarios.

Ce n'est pas marrant à faire mais parfois c'est la seule solution si on ne veut pas s'embourber à jamais dans un projet.

Réécrire sans faire référence à aucune note permet de repartir du bon pied, je trouve.

24 avril 2012

Quelques scènes...

dustbinAbandonner un projet, ne pas tout virer à la poubelle ne tient pas à grand-chose. Quelques scènes prometteuses, quelques moments chouettes qui restent dans le ciboulot et qui empêchent de le lâcher complètement.

J'ai deux scénarios comme ça. Je les ai commencés il y a pas mal de temps, mais me suis complètement noyée dedans, impossible de remonter à la surface pour y voir plus clair. De temps en temps, j'y repense, me demandant si je ne devrais pas les oublier ou les classer dans un dossier Mission impossible, mais du fait de quelques scènes, de quelques retournements de situation que j'aime bien, je me dis : non, il y a quelque chose à creuser.

Il faut juste que je trouve l'énergie de me décarcasser pour réfléchir au reste, combler le vide entre ces scènes qui me paraissent intéressantes.

Juste une remarque en passant...

21 avril 2012

Connaître le nom de ses personnages !

C'est très mauvais de changer le nom de ses personnages en cours de route !

Lorsque j'ai écrit ma pièce Béguin il y a deux ans, j'ai changé le nom d'un des personnages presque à la fin, car je ne l'aimais plus. Résultat des courses ? Je ne me suis jamais habituée à ce changement, et je l'ai appelé par son ancien nom dans ma liste des personnages, ici sur ce blog.

Je viens de tout rectifier heureusement, mais pour éviter de s'emmêler les pieds, il vaut mieux nommer ses personnages une fois pour toutes et s'y tenir...

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