Les nouveaux maîtres des théâtres parisiens

Voici un article intéressant du Figaro sur les coûts de fonctionnement d'un théâtre. On oublie parfois la lourdeur de gestion de ces établissements. On comprend mieux pourquoi les théâtres privés font appel à des vedettes et sont à la recherche de valeurs sûres, d'auteurs qui ont déjà fait leur preuve.

Je ne savais pas que Le début de la fin de Sébastien Thiéry avait été un four (j'ai bien aimé pourtant ce texte à la lecture)...

Pour lire l'article, voir ici.

Comments

[la tete a rire]

Cela se comprend très bien en fin de compte. Le théâtre privé est une entreprise commerciale comme une autre et quand on a des frais pareils, il faut faire tout pour essayer de les couvrir au mieux par le biais de vedettes qui assureront un minimum de pub.



On entend rarement les directeurs de ces grandes institutions parler. C'est dommage, je trouve, car ce qu'ils disent est très intéressant.



Christine

[orlamond]

Le fait est que les théâtres publics peuvent ne pas gagner d'argent. Par contre les théâtres privés ont des impératifs de rentabilité, d'où le recours à des "vedettes" ou à des auteurs-phares, pour assurer un max de fréquentation.

Même Schmidt, pour sa première pièce, l'avait envoyée à Edwidge Feuillère, qui ne l'a pas jouée mais l'a recommandée à un directeur-ami, etc ...