Si c'est trop dur, est-ce la peine ?
Pour compléter mon message d'hier.
Parfois je me demande si les histoires les meilleures ne sont pas celles qui viennent d'emblée. Lorsqu'on peine trop sur un texte, ça se voit, et indépendamment des heures que l'on passe dessus, le résultat s'en ressent.
Il faudrait pouvoir faire une enquête, demander aux scénaristes ou dramaturges de textes réputés s'ils ont pu établir un lien entre leurs meilleurs textes et la facilité avec laquelle ils les ont écrits, leur rapidité d'exécution.
Il y a des textes qui ont été difficiles à pondre et qui sont de qualité comme Voyages du jour à la nuit d'Eugene O'Neill (message du 2 septembre) mais je me demande si les textes qui ont plus d'impact ne sont pas ceux qui sont nés relativement sans douleur.
En gros, plus l'idée est limpide, plus on sait où on va dès le début, plus on a de chance que le message soit clair et le résultat réussi.
J'en sais rien, juste une question que je me pose à la minute.