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La tête à rire
23 août 2012

Une lettre de refus... et un anniversaire

En fait, c'est pareil, surtout s'il s'agit d'un anniversaire difficile, comme un changement de dizaine. On s'en fait toute une montagne mais on est exactement pareil après.

Comme une piqûre de moustique aussi. Ca pique sur le coup, mais la douleur passe assez vite. Heureusement !

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Commentaires
W
Hé ben, oui, j'avais oublié ce problème. Il est partout aussi. Dans le domaine de l'environnement ça existe aussi. Les places les plus intéressantes sont pour les fils de "Machin" ou l'heureux "élu" est nommé par le préfet (de ce que j'en ai vu). Mon existence ne dépend plus de mon travail, mais qu'est-ce que c'est triste cette société du copinage...de quoi écrire une pièce de théâtre (hahaha ! faut trouver le bon côté). J'habite aussi "loin de tout" et ne connais personne d'important même au niveau local. Toutes les propositions de projets d'animations que j'ai pu faire ont été refusées systématiquement et ce depuis plusieurs années. De quoi se remettre en question bien souvent. Cette année je retourne un jour par semaine à l'université (civilisations anglaise et américaine). C'est tout une aventure mais qu'est-ce que ça fait du bien, une bouffée d'air !
L
Je pense désormais que c'est le facteur "Relations" qui compte énormément. Tout se fait par relations à Paris, par qui on connaît, et si on n'est pas comédien et isolé géographiquement, tout repose sur le texte qu'on envoie. <br /> <br /> <br /> <br /> Je ne sais pas ce qui se passe exactement dans les bureaux de réception de manuscrits, mais je crois qu'il y a un certain manque d'enthousiasme des directeurs de théâtre pour les textes qu'ils reçoivent par la poste (je ne les critique pas, on fait tous circuler à un moment des pièces qui ne sont pas abouties), ils ne me semblent pas à l'affût pour découvrir quoi que ce soit, ça m'a l'air d'être la corvée même, et quand on entend certains directeurs de théâtre dire qu'ils ne lisent pas un manuscrit si le nom de l'auteur leur est inconnu, on en revient au gros problème qu'est le manque d'ouverture, <br /> <br /> <br /> <br /> C'est là que la chance intervient en effet, un jour, quelqu'un a plus le temps que la veille, est soudain curieux et peut en effet lire quelque chose qui lui a été adressé. Pas simple tout ça.<br /> <br /> Christine
W
J'ai l'impression que le facteur "Chance " est énorme (90%, 99% du processus ?). Certains auteurs très célèbres le reconnaissent d'autres, les plus mégalos, ne voient que leur travail ou leur talent là dedans.
P
Bon courage pour ces refus. Je suis dans le même cas que vous, et il faut persévérer, c'est la seule recette. On m'a dit que l'on pouvait envoyer notre manuscrit plusieurs fois à la même maison, car les personnes faisant partie du comité de lecture peuvent changer, donc ça laisse de nombreuses possibilités :) Si vous croyez en votre roman, vous y arriverez.

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