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La tête à rire
9 août 2011

"The Social Network"

clip_filmUn film de David Fincher sorti en 2010 avec Jesse Eisenberg et Justin Timberlake.

J'ai bien aimé ce film, ce qui est étonnant vu le sujet.

L'histoire de ce jeune informaticien visionnaire, qui, un soir où il se sent particulièrement seul, crée un site internet qui provoque la zizanie à Harvard et qui l'amène à rencontrer deux frères qui vont lui donner l'envie de concevoir Facebook, aurait pu être ennuyeuse.

D'autant plus que tout n'est pas clair au niveau de qui a eu vraiment l'idée. Pour Mark Zuckerberg, le jeune informaticien en question, c'est lui qui a créé Facebook dans la mesure où lui seul avait les capacités informatiques de le faire... Pour les deux frères, c'est eux qui lui ont donné le concept, l'idée de départ.

Bref, parler ordinateurs, langage informatique, et procès (qui lui sont tombés sur le dos du fait des problèmes de paternité justement), ne sont pas les meilleurs ingrédients pour tenir le spectateur en haleine pendant une heure et demie. Mais si, moi je n'ai pas décroché.

J'ai trouvé le film très bien fait et très intéressant. Les acteurs sont bons, surtout Jesse Eisenberg qui joue Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook, qui est en fait de quelqu'un de très seul, toujours dans une autre sphère...

Je ne suis pas sur Facebook ou Twitter et je n'arrive pas à croire que du fait d'un nouveau concept de site on puisse se faire autant d'argent...

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8 août 2011

Le brouillard complet

C'est encore ce genre de jours, le jour où l'on n'arrive à rien, on sait pourtant ce qu'on doit faire mais le déclic ne vient pas. Impossible d'apporter les modifications nécessaires sur les projets en cours, impossible d'aller dans le détail, grand brouillard aussi quant à la vue d'ensemble, on n'arrive à rien quoi.

Ce n'est pas la première fois que je parle de cet état mais c'est énervant à la fin. On sait qu'un projet ne va pas bien, ce qu'on a écrit n'est pas suffisant ou cloche quelque part et on stagne, impuissante, à le boucler.

J'ai une pièce dont le boulot du personnage principal me pose problème et deux pièces qui sont du genre raplapla. On ne s'endort pas en les lisant mais presque.

Il y a pire, je me dis, je pourrais être complètement dans le brouillard et même pas cerner ce qui ne va pas, les problèmes qu'il faut régler. Il faut voir le positif où l'on peut...

7 août 2011

Et que ça bouge !

T_l__okBrrrr... encore un truc qui m'énerve à la télévision.

Lors du journal télévisé, on a le présentateur qui est normalement assis derrière un bureau et qui nous lit les infos, ça va.

Mais dès que les présentateurs/journalistes sont en extérieur, c'est la cata, il faut qu'ils bougent, personne ne doit faire du sur place.

Parfois ils n'ont aucune raison de se déplacer, mais cela ne les empêche pas pour autant de parcourir trois mètres pour aller d'un coin d'un parking à l'autre, du coffre d'une voiture à l'avant, d'un trottoir à celui d'en face... Il faut qu'il y ait du mouvement !

Pire, en Angleterre maintenant, ils commencent à bouger à l'intérieur du studio. Et que ça déambule devant de grands écrans pour donner un peu plus de peps à leur présentation...

Ils vont me donner le tournis s'ils continuent ainsi.

5 août 2011

"Le 1er" (4H, 1F)

DSC01900Le 1er de Israël Horovitz, une pièce en un acte publiée par l'Avant-Scène (numéro 529).

Une pièce pas très longue qui m'a bien plu jusqu'au moment où la seule femme du lot se met à aguicher tous les hommes... Je parle tout de suite de l'histoire sinon c'est difficile de comprendre.

Le 1er est l'histoire d'une fille d'attente. Il y a cinq personnages, une femme et quatre hommes, qui arrivent pour faire la queue. On ne sait pas pourquoi ils font la queue, s'ils attendent de voir ou d'acheter quelque chose, mais ce n'est pas tellement la question, ils veulent tous être le premier de la file, même s'ils doivent recourir à différents stratagèmes pour distraire les autres et prendre leur place.

C'est une pièce qui part d'une idée intéressante, une pièce sur l'esprit de compétition. J'ai bien aimé jusqu'au moment où la femme se met à draguer tout le monde et chaque accouplement est représenté par une danse. Je n'ai pas trop aimé ce passage, mais peut-être que cela marche très bien sur scène, qui sait ?

4 août 2011

Je travaille bien ?

DSC01925

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autant que ma chatte Mika... Oh oui, ça bosse dur.

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3 août 2011

Lettre d'un lecteur

Ce message complète celui d'hier sur les lettres de refus.

Je garde toutes mes lettres de ce type dans un beau classeur jaune. En première page du classeur, j'ai inséré une lettre envoyée par un lecteur, Simon Whaley, à la revue anglaise Writers' News. J'étais abonnée il y a quelques années à cette revue sur l'écriture, et j'ai trouvé cette lettre du courrier des lecteurs sympathique.

La voici en anglais :

Rejection letters shouldn't be taken personally, I refer to my rejections as 'Not today, thank you' letters instead.

A few years ago, I submitted an article to Norfolk Journal magazine, which soon found its way back through my letterbox. Dejected, I put it to one side and forgot about it.

Twelve months later, Writers' News advised that a new editor was in post, so I printed off a fresh copy and popped it in the post. It came back once more. Some time later, again in Writers' News, I discovered there'd been another editorial change, so I sent off a fresh copy. Third time lucky. It was accepted, despite the third submission being exactly the same as the previous two.

This month sees publication of another article that has seen rejection. Ironically, it's been accepted by the very same editor at the very same magazine who rejected it ten years ago. So you see - rejection isn't the end of the world, it just means 'Not today, thank you'.

En gros, ce qu'il dit, c'est que les lettres de refus ne doivent pas être prises trop à cœur, il les appelle "les lettres qui ne sont pas pour aujourd'hui, merci".

Il y a quelques années il a envoyé un article à un magazine qui lui a été vite retourné. Un an après, apprenant qu'il y avait changement de personnel, il a renvoyé l'article. Second refus. Plus tard, apprenant encore que la personne du dernier refus avait quitté son poste, il a renvoyé l'article qui, cette fois, a été accepté, sans qu'il ait changé un mot.

Au moment où il écrivait cette lettre, il avait un autre article qui venait d'être publié dans un magazine... article accepté par le même éditeur du même magazine qui l'avait refusé dix ans plus tôt. Donc, pour lui, les lettres de refus ne sont pas la fin du monde, elles veulent juste dire : "Pas aujourd'hui, merci".

J'espère que si Monsieur Simon Whaley tombe sur ce blog, il ne m'en voudra pas d'avoir fait figurer son courrier. Impossible pour moi de lui demander sa permission.

2 août 2011

Non !!!

Elles sont un peu dures à encaisser les lettres de refus... Les pires sont celles qui ne disent rien, qui sont des lettres types du style :

Le comité de lecture a lu votre texte. Malgré certaines qualités, il n'a pas été retenu.
Sachant que notre avis demeure par définition subjectif, il ne préjuge pas de celui
d'autres comités de lecture.

En vous remerciant de votre envoi...

On n'apprend rien, on n'a aucune idée si cela vaut le coup de renvoyer un texte un jour ou non... Le flou complet.

Celles qui mentionnent un problème de politique éditoriale sont déjà plus intéressantes, car on ne peut pas avoir de succès si l'on ne correspond pas au genre, aux choix éditoriaux d'un théâtre ou d'une maison d'édition.

Si le théâtre cherche un texte sérieux, éducatif, et qu'on leur présente une histoire aussi légère qu'une plume, forcément cela ne va pas coller. Faire une petite recherche internet sur les textes montés par les théâtres permet de se faire une idée de ce qu'ils recherchent à l'avance et d'éviter les courriers inutiles.

Voilà une lettre du genre :

Le comité de lecture de notre théâtre a enfin pu prendre connaissance de votre texte.
Malgré ses qualités, nous sommes au regret de vous informer que votre proposition
ne correspond pas aux choix artistiques ou thématiques des saisons à venir.

En espérant que vous comprendrez les contraintes qui sont les nôtres...

Après il y a les lettres plus personnelles, qui sont parfois dures à encaisser, mais qui font avancer le schmilblick. Il m'arrive de ne plus pouvoir écrire pendant deux jours après avoir reçu un courrier pareil, pas parce que je suis découragée mais parce que je cogite pour essayer de comprendre ce qu'on vient de me dire, de lire entre les lignes. Exemple : mes messages du 4 et 5 décembre 2010.

Une petite note positive sur les lettes de refus : le manuscrit Harry Potter de J. K. Rowling a été refusé plus d'une dizaine de fois par différents éditeurs (douze fois, si je me souviens bien). La preuve qu'il ne faut jamais se décourager !

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