Trop c'est trop
Je vois qu'on va encore avoir droit à une pièce sur l'adultère, cette fois au théâtre Montparnasse en janvier prochain.
A chaque fois que je regarde le choix de programmation des théâtres privés parisiens, les bras m'en tombent et donc ma résolution pour 2016 est de ne plus le faire.
C'est bien dommage, car la scène a toujours été pour moi le lieu de l'interrogation par excellence, le lieu où on se réunit pour se poser une question, qui peut être sérieuse ou moins profonde, mais en tout cas d'un autre ordre que :
Purée ! Mais comment l'amant de Machine est arrivé à se retrouver enfermé dans le placard ? Comment la femme de Machin ne réalise pas qu'elle parle à la maîtresse de son époux ?
Questions peut-être très drôles la première fois qu'elles ont été posées (il y a 250 ans) mais en être encore là en 2015 me désole, pour ne pas dire me déprime complètement.