Le bérêt de la tortue, de Jean Dell et Gérald Sibleyras, Amitiés sincères de Stephan Archinard et François Prévôt-Leygonie et La danse de l'albatros de Gérald Sibleyras.
C'est une pièce qui n'est pas évidente à lire, car on ne sait pas qui dit quoi. Il n'y a aucun nom devant les dialogues ou le texte narratif, ce qui fait qu'on ne peut pas imaginer comment cela se passe sur scène. <br />
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Une pièce à voir donc, pas à lire.
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orlamond
28/02/2013 08:16
Oui, oui. Les personnages sont en même temps les narrateurs et ils sont les héros de l'histoire; cela permet une grande souplesse et des changements rapides et nets, côté décor par exemple ou temps de l'action.<br />
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Evidemment, on ne peut pas faire que ça mais, comme chez Fabrice Melquiot, par exemple, c'est intéressant.
C
Christine
27/02/2013 13:18
Je viens d'acheter "Vive Bouchon" et "Un stylo dans la tête" car ces histoires m'intriguent. Je suis d'accord avec toi, les thèmes que ces deux auteurs proposent changent un peu, ont le mérite de ne pas avoir déjà été traités mille fois.<br />
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Je connaissais l'expression "l'oeil du prince"...<br />
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Je m'attaque à "Nuit d'été" en ce moment que je lis en anglais. Il y a plus de texte narratif que de dialogues et j'ai du mal à imaginer comment tout ça se goupille sur scène. Il n'y a bien que deux personnages pourtant, c'est bien ça ?<br />
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A plus,<br />
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Christine
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orlamond
27/02/2013 10:13
Au fait, sais-tu d'où vient cette expression, "l'oeil du prince" ?<br />
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Elle correspond à la place idéale, au septième rang, au centre, celle où se positionne le metteur en scène quand il fait travailler ses comédiens.
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orlamond
27/02/2013 10:12
Je trouve, puisqu'on en parlait, que Dell et Sibleyras renouvellent assez le genre comédie. J'avais bien aimé "Vive Bouchon" des deux mêmes, autour des mensonges que doit accumuler un maire qui a fait de sa ville, Bouchon, la recordman des aides et autres subventions européennes.<br />
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Voilà un thème dans l'air du temps, même si elle louche un peu vers "le Révisor" du cher Gogol !