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La tête à rire
30 septembre 2012

E-dpo (2)

Pour faire suite à mon message du 22 septembre... je confirme que le dépôt de textes par Internet sur le site de la SACD marche très bien. Il faut juste aller assez vite après le téléchargement (dès que le texte est téléchargé, il faut appuyer sans tarder sur Valider)...

C'est le moment de protéger ses textes car les tarifs de lancement sont avantageux.

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29 septembre 2012

"Monsieur Amilcar" (3H,3F)

DSC02176Monsieur Amilcar d'Yves Jamiaque, une pièce en deux actes publiée par l'Avant-Scène (numéro 560).

Il y a des pièces qu'il est préférable de voir sur scène et celle-ci, il me semble, en fait partie. J'ai aimé l'idée de départ, j'ai trouvé ça original mais, à la lecture, je n'ai pas accroché. J'aurais été davantage branchée par l'histoire si j'avais pu la voir au lieu de la lire.

L'histoire est résumée dans un des dialogues, page 30 : C'est l'histoire d'un homme qui, ayant perdu toute confiance dans la sincérité des sentiments d'autrui, décide un jour d'engager à prix d'or trois inconnus pour lui jouer la comédie des sentiments.

Alexandre est un homme qui a raté sa vie privée. Se sentant seul, ayant l'impression d'être passé à côté de l'essentiel, il engage un jour trois comédiens pour lui donner une famille. Ils joueront le rôle de son épouse, de son meilleur ami et de sa fille. Eléonore, la comédienne qui joue sa femme, hésite au début puis se laisse convaincre. On ne sait plus trop qui est sincère au bout d'un moment et les rapports "familiaux" se compliquent et deviennent assez tendus.

J'avoue avoir lu une ligne sur deux vers la fin. C'est curieux car c'est une idée intéressante, j'aime le théâtre dans le théâtre, mais je ne suis pas rentrée dans le jeu. Je crois que c'est parce que les comédiens disent des paroles en l'air pour faire plaisir à Alexandre, donc on se lasse un peu.

Je peux me tromper sur cette pièce.

J'ai classé ce texte dans les pièces comiques, mais bon, c'est du rire grinçant, un peu triste.

28 septembre 2012

Fiction radio et création sonore, SACD

On m'a parlé récemment d'un petit guide publié il y a quelques années par la SACD pour les auteurs de radio. Je l'ai téléchargé et voici le lien (voir g_fiction_radio).

27 septembre 2012

Tous les chemins sont bons...

sad_faceEh oui, ma pièce pas marrante sur deux filles qui essaient de reprendre leur vie après un accident de voiture/mobylette... je piétine toujours en beauté.

J'ai donc décidé d'en faire une pièce radiophonique en anglais pour voir si cela peut m'aider.

Attention ! Je ne dis pas que pour arriver à pondre une pièce de théâtre en français, il faut d'abord songer à en écrire une version pour la radio anglaise, non, ce serait un conseil un peu étrange... juste que tous les chemins sont bons, parfois écrire de manière différente, sous une autre forme, suivant d'autres exigences, dans une autre langue même, permet de faire avancer le schmilblick.

On pourra donc dire que j'aurai tout essayé pour débloquer cette histoire. Si je n'y arrive toujours pas, qu'est-ce que je vais pouvoir faire ? Mmm, je n'ai pas encore essayé d'en faire un roman, une nouvelle. Je parle aussi un peu l'allemand. Tout n'est pas perdu donc, il y a encore de l'espoir, j'arriverai à la pondre cette histoire...

26 septembre 2012

Pièces de théâtre : nouveaux achats

Quelques pièces récemment achetées :

DSC02176DSC02185

Monsieur Amilcar et L'Azalée d'Yves Jamiaque, et Les nuits et les jours de Pierre Laville.

DSC02182

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25 septembre 2012

Une fin bien tardive

eurekaJe viens de trouver la bonne fin pour une de mes pièces, Béguin, écrite il y a plus de deux ans.

J'ai réécrite cette pièce il y a quelques mois, mais la fin ne me plaisait toujours pas. Moment d'illumination l'autre jour et voilà, je pense que ce texte est enfin bouclé pour de bon.

Pensée un peu déprimante : j'avais déjà pensé à la finir ainsi mais n'avais pas réussi à amener cette chute de manière logique. Comme quoi, avec détermination et patience, on arrive au bout.

24 septembre 2012

Trois étapes (2)

Je disais dans mon message du 8 juillet que j'avais l'impression d'écrire en trois étapes, eh bien, je confirme, c'est bien le cas.

J'écris en trois temps :

► Tout d'abord, le premier jet

► Puis vient ce que je pense être la dernière mouture, mon texte soi-disant terminé (mais qui ne l'est pas, c'est juste que je ne vois plus rien, je suis trop crevée après m'être trop concentrée sur le même sujet)

► Et enfin !!!! la finition (qui peut venir des mois après mon texte soi-disant terminé, moment où je retravaille en général tout et peux déclarer le projet bouclé)

Pas l'idéal comme manière de procéder mais comme je l'ai déjà dit, en écriture, on fait vraiment avec les moyens du bord !

23 septembre 2012

"Adieu Berthe !" (12H, 2F)

DSC02149Adieu Berthe !, une comédie américaine en trois actes de John Murray et Allen Boretz, adaptée pour la scène française par Albert Husson et Francis Blanche, et publiée par l'Avant-Scène (numéro 404).

Une pièce qui a un certain rythme, un certain peps et qui est assez marrante à lire.

C'est l'histoire d'un producteur de théâtre sans le sou qui essaie malgré tout de monter des pièces. Il vit dans des hôtels avec une large équipe de techniciens et comédiens et il ne paie jamais la note, ce qui s'avère un peu stressant lorsque l'un des directeurs d'hôtel vient lui demander des comptes.

Il y a de bonnes répliques dans cette pièce et les personnages sont tordants : le personnage principal bien sûr, ce producteur qui essaie de monter la pièce "Adieu Berthe" sans avoir l'argent à sa disposition (rôle que le comédien Francis Blanche semble avoir interprété de manière hilarante), mais aussi le directeur d'hôtel stressé qui veut être payé, l'auteur débarqué de sa province tout excité à l'idée de voir sa première pièce montée...

Ce texte doit être assez amusant pour les comédiens comme pour les spectateurs. C'est ce que j'appelle une "comédie à l'ancienne" qui remonte à une époque où l'on avait pas peur de monter des histoires qui n'avaient aucune autre prétention que de faire rire. On peut aussi parler de "bêtise structurée" (message du 29 avril dernier), à savoir un texte léger qui est en fait assez réfléchi et bien construit.

Si vous voulez voir les talents d'improvisateur de Francis Blanche durant un sacré trou de mémoire, voir ici.

22 septembre 2012

E-dpo

La Sacd propose en ce moment des tarifs de lancement pour le dépôt de textes par Internet. Pas besoin de leur demander une enveloppe, d'attendre de la recevoir, de la renvoyer, etc., tout se fait en quelques clics sur écran. Enfin c'est la théorie, car j'ai essayé hier (20 euros pour un dépôt, 40 euros pour trois, ce qui est avantageux) et n'ai pas réussi.

Je leur ai envoyé un mail pour leur demander ce qui se passe, donc je ferai un autre message pour confirmer que cela marche bien. Pour le lien vers la SACD, voir ici.

21 septembre 2012

Idées originales...

DSC03027DSC03035Sébastien Thiéry est un auteur qui a des idées originales.

Que ce soit sa pièce Le début de la fin sur un homme qui voit sa femme d'une manière différente que tout le monde (message du 28 juin), Cochons d'Inde sur un personnage qui est enfermé dans sa banque suite à la nouvelle direction indienne qui lui reproche d'être sorti de son milieu, de sa "caste" (message du 25 août), ou Comme s'il en pleuvait, une pièce à l'affiche depuis le 7 septembre au théâtre Edouard VII sur un couple ordinaire qui reçoit curieusement tous les soirs des tombées d'argent du ciel, ses idées sortent du lot.

C'est bien de voir un auteur qui écrit des comédies intelligentes s'imposer ainsi.

20 septembre 2012

La mécanique comique, Marc Camoletti

Voici les propos de Marc Camoletti recueillis par Paul-Louis Mignon en introduction de sa pièce L'amour-propre (message d'hier):

"Pour moi, raconte Marc Camoletti, qui m'attache au pur comique de situation – à l'exception jusqu'ici de L'amour-propre où les personnages créent la situation et, par amour-propre, la font rebondir –, je ne peux commencer à écrire sans avoir établi précisément la situation et avoir ménagé ses rebondissements jusqu'au baisser de rideau final (l'idée de départ peut sembler bonne et tourner court.)

Car les paroles dans le dialogue en dépendent rigoureusement, elles sont le moyen de conduire infailliblement, de moment en moment, jusqu'à la situation finale. Les personnages ne doivent parler que pour assurer le fonctionnement de ce mécanisme. Ils n'ont aucune liberté; leurs répliques constituent un écheveau serré dont ils sont prisonniers. Dans L'Homme nu, il n'est pas possible de changer un mot sans que tout s'éffondre.

Les mots et les accessoires ! Les verres par exemple dans Secretissimo : il m'est apparu indispensable de répéter avec eux dès le début.

Tenez compte aussi du fait qu'il faut, à chaque instant, amener le spectateur à porter son regard sur un point déterminé de la scène pour que l'effet dont découlera la suite, se fasse sûrement. Il ne faut non plus laisser aucune liberté au public, mais contraindre au contraire son attention constamment.

Interprète de mes pièces, j'ai réalisé comme l'effet dépend de l'exactitude du phrasé. Le jeu comique a un caractère musical. Dans l'absolu, la distribution devrait être faite en fonction des timbres de voix. Le problème du ton est capital, un ton faux en réalité, mais qui donnera le sentiment de la vérité. C'est ce qu'il est de plus en plus difficile d'obtenir des comédiens."

Pour l'écrivain, continue Paul-Louis Mignon, il y a la peur de la plage blanche; pour Marc Camoletti il y a celle du paquet de trois kilos de papier dont il sait par expérience avoir besoin de noircir pour édifier chacune des ses machines à faire rire.

19 septembre 2012

"L'amour-propre" (3H, 4F)

DSC02161L'amour-propre de Marc Camoletti, une pièce en trois actes publiée par l'Avant-Scène (numéro 426).

Marc Camoletti aime écrire des histoires sur des couples mariés qui se donnent des frayeurs pour rien. Il aime aussi mettre les époux en présence des maîtresses et amants dont ils avouent l'existence.

Voici l'histoire : Une femme découvre que son mari ne passe pas ses soirées à son club comme elle le pensait. Elle lui demande ce qui se passe et il lui avoue qu'il a une maîtresse. Il dit avoir une maîtresse parce qu'il sait qu'elle a un amant. Après quelques instants à tourner autour du pot, la voilà qui avoue aussi avoir une liaison, qu'un homme vient en effet la voir chez eux de temps en temps.

Ils pourraient en rester là ou demander le divorce, mais le mari souhaite qu'elle fasse la connaissance de sa maîtresse par amour-propre. Leur infidélité n'étant pas à ses yeux équitable, dans la mesure où leurs voisins sont au courant de son aventure mais pas de la sienne, il souhaite que sa maîtresse vienne chez eux, parade en quelque sorte dans le quartier.

Une amie du couple arrive, puis l'amant, puis l'époux de l'amie, puis la fameuse maîtresse qui n'est en fait qu'une fille qui prend des cours de comédie et qui a été employée par le mari pour jouer le jeu. Bref, il n'a pas de maîtresse, elle n'a pas d'amant, mais chacun garde le secret, il sait qu'elle n'a pas eu d'amant mais elle croit qu'il le pense toujours, et elle aussi, elle sait qu'il n'a jamais eu d'histoire avec cette Jennifer mais il ne sait pas qu'elle sait.

Bref, tout ça est bien compliqué et on se donne des angoisses pour rien. Un peu poussé tout de même mais, dans le genre, ça fonctionne.

18 septembre 2012

Impression recto verso

Ben oui, j'envoie désormais mes textes imprimés recto verso. Cela coûte moins cher à l'impression et en frais de poste et si un directeur de théâtre refuse de printinglire mon texte parce qu'il doit tourner la page sur elle-même, c'est qu'il est idiot et ringard.

Voilà, c'est dit.

17 septembre 2012

Interview d'Eric-Emmanuel Schmitt

On vient de me signaler cette interview de l'Express...

C'est toujours intéressant d'écouter ce qu'Eric-Emmanuel Schmitt a à dire, alors voilà, le lien est ici.

16 septembre 2012

Fin 2013 !

calendarAu mois de juin, j'ai contacté une association soi-disant à l'affût de nouveaux textes, se présentant comme une "oreille" pour les auteurs. Je leur ai demandé si pouvais leur envoyer un texte, ils m'ont répondu que oui, mais voilà que je reçois un mail de leur part avant-hier me disant de ne rien leur faire parvenir avant la fin 2013 car ils sont débordés !

Quelque chose cloche dans leur organisation, il me semble, s'ils sont tellement à la bourre... et bonjour les encouragements. Oh oui, attendez 18 mois et on avisera !

Qui dit mieux ? Réponse en 2014 ? Après les prochains jeux Olympiques ?

15 septembre 2012

Que faire de cette pièce ?

question_markNouveau problème qui se pose : je suis en train de finir ma pièce  A vos plumes ! sur trois aspirants écrivains, elle est presque terminée et je me rends compte que je ne sais absolument pas ce que je vais en faire.

Plusieurs solutions sont possibles :

► L'envoyer dans les théâtres parisiens

► L'envoyer à des concours

► Traduire le début en anglais et l'envoyer au Traverse Theatre à Edimbourg

► La laisser dans un de mes tiroirs

► En faire des confettis

Mmm... Vu que cette pièce est une comédie sur trois aspirants écrivains, sujet qui n'intéresse personne paraît-il (c'est ce que disent les pros d'Hollywood en tout cas), je pense qu'elle n'est pas adaptée, voire trop légère, pour l'envoyer aux concours et théâtres parisiens. Malheureusement c'est la même chose pour le Traverse Theatre à Edimbourg. J'ai en main leur programme et tout ça est très sérieux.

La laisser dans mes tiroirs est un peu tristounet, en faire des confettis n'en parlons pas, qu'en faire donc ? Je la présenterai bien sûr sur ce blog, mais à part ça, je ne sais pas bien.

Ecrire des pièces et ne pas savoir quoi en faire... que c'est triste !

14 septembre 2012

Scène trop lue !

typing_womanJe parle des scènes au théâtre où il y a deux personnages assis devant un écran d'ordinateur chez eux, en train de dire tout haut ce qu'ils se tapent l'un à l'autre.

Je n'en peux plus de cette scène, je l'ai trop lue. On retrouve cette scène à plusieurs reprises dans Pensées secrètes de David Lodge (message du 6 juin) et je ne sais plus trop dans quel autre texte, mais elle commence à sentir le réchauffé.

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13 septembre 2012

Comédie romantique... ou légèrement flippante ?

romantic_comedyPeut-on vraiment écrire une comédie romantique sur un couple déjà formé ? Ou une comédie ne peut être romantique que si l'on parle d'une rencontre, de deux êtres qui se découvrent et finissent seulement ensemble à la fin, au moment de la dernière scène, de la dernière image ?

Je trouve personnellement que, dès que deux personnes se mettent en couple, cela cesse d'être romantique, amusant, voire intéressant.

La pièce Une comédie romantique de Gérald Sibleyras dont je parlais hier en est le parfait exemple. La scène de rencontre est sympa (première scène), mais dès qu'ils se mettent ensemble, c'est la possession, le recours au mensonge, la jalousie, les scènes au lit qui sont un peu embarrassantes pour le pauvre public, il faut bien le dire, donc on ne rigole plus beaucoup et tout ça n'est plus très beau à voir.

12 septembre 2012

"Une comédie romantique" (3H, 2F)

DSC03099Une comédie romantique de Gérald Sibleyras, pièce publiée par l'Avant-Scène (numéro 1276).

J'ai lu cette pièce il y a plus de deux ans et j'ai été très déçue, je ne l'ai pas trouvée intéressante. Je l'ai relue cette semaine pour voir si j'avais été trop sévère et c'est un peu mieux que je ne le pensais, mais bon, je ne suis toujours pas passionnée. Le problème que j'ai avec cette pièce, c'est que c'est une comédie romantique sur un couple, Anita et Léon, et les meilleures scènes sont la première où ils se rencontrent et toutes les autres où ils n'y figurent pas ensemble. Ouille !

Les dialogues entre Anita, sa frangine et son beau-frère, tout comme ceux de Léon avec son meilleur ami, sont plus amusants que les rencontres dans les hôtels des deux protagonistes.

Je raconte l'histoire sinon c'est difficile de comprendre. Léon est un informaticien qui rencontre Anita un beau jour en attendant ses billets de train dans un bureau de la SNCF (je fais ça sur Internet, moi, mais bon...). Ils se plaisent, se revoient, commencent une histoire dans différents hôtels de France du fait des déplacements en province d'Anita qui est habilleuse, bref, ils s'aiment beaucoup, ont peur de tomber dans la routine et voilà que, pour garder le piment de leur nouvelle relation, Léon se dit marié. Anita, surprise, n'est pas longue à en faire autant, elle se dit aussi en couple avec un type qu'elle va bientôt épouser...  Leur relation n'est plus la même, il va de soi, après des aveux pareils.

Mmm... si une relation se passe bien avec quelqu'un, va-t-on lui dire qu'on aime déjà quelqu'un d'autre pour l'épicer ? Je tique un peu là. Si on s'en est pris plein dans la figure dans le passé, on peut dire qu'on souhaite prendre les choses plus doucement, qu'on a peur de s'engager, on peut même se dire marié au début, à la première présentation, pour mettre de la distance d'emblée, mais aller prétendre qu'on est bien en couple avec quelqu'un d'autre alors qu'on souhaite continuer une relation avec une personne dont on est déjà amoureux me dépasse un peu.

Enfin bref, c'est la pièce. Il y a beaucoup de changements de décor, et je ne sais pas trop ce que cela doit donner sur scène. Un peu lourd à gérer, sûrement. Enfin bref, je n'ai pas adoré ce texte.

11 septembre 2012

L'inconvénient d'écrire ? (4)

thumbs_downEn ce qui me concerne une certaine impatience...

J'étais beaucoup plus patiente lorsque j'écrivais moins, mais maintenant que j'essaie de finaliser des projets, je me rends bien compte que je ne suis plus très cool.

J'ai toujours envie de m'y remettre, trouve le temps que je dois passer à faire autre chose du temps perdu, donc me voilà rivée sur ma montre en permanence en me disant : déjà cette heure-là ?

Un des effets pervers de l'écriture, le stress. Cela prend du temps d'écrire, il n'y a malheureusement pas de grands raccourcis possibles.

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