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La tête à rire
31 juillet 2012

Rétrospective Ingmar Bergman : "Les fraises sauvages"

clip_filmAvant-dernier film de la rétrospective des films d'Ingmar Bergman donnée sur Film4. Il s'agit du film Les fraises sauvages (Wild Strawberries en anglais; titre original : Smultronstället), sorti en 1957.

Je connaissais ce film de nom, je ne savais absolument pas de quoi il parlait. Encore un film d'Ingmar Bergman que j'aime bien. Les scènes nostalgiques sont suivies de scènes plus légères, gaies, et l'ensemble se regarde bien.

L'histoire : un médecin, Isak Borg, se rend à Lund pour y être honoré après une longue carrière. Il s'y rend en voiture et est accompagné par sa belle-fille réfugiée chez lui depuis peu après avoir quitté son mari. Ce voyage lui permet de revenir sur des moments importants de son passé et de faire un bilan de vie.

C'est un beau film, je trouve. La présence des actrices Bibi Andersson, qui joue une cousine d'Isak qu'il aimait bien jeune et qui a épousé son frère, apporte beaucoup de peps au film. Elle est jeune, chaleureuse et permet que ce voyage ne soit pas trop triste. La beauté d'Ingrid Thulin, toujours énigmatique, qui joue sa belle-fille, est un rôle aussi intéressant.

Je trouve que tout est particulièrement bien dosé dans ce film. Quand l'histoire devient un peu trop triste, Ingmar Bergman fait intervenir un groupe de jeunes autostoppeurs qui les accompagnent un moment et changent le ton.

Tout a l'air facile et simple, mais on passe du rêve à la réalité, des personnages du passé se retrouvent au présent, il y a des flash-backs qui arrivent sans qu'on les sente venir... Je n'ai jamais vu une telle aisance de narration, je dois dire. On mélange les époques, on mélange la réalité et le rêve pour raconter une histoire qui tient bien la route et que le spectateur suit sans difficulté.

Un beau film que je reverrai sûrement.

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30 juillet 2012

Nouvelle consigne

laughs_2

L'Etat, qui devrait toujours avoir le bien-être de ses citoyens en tête, devrait donner une nouvelle consigne aux théâtres subventionnés, à savoir : FAIRE RIRE.

Tous les théâtres subventionnés français ne devraient recevoir une aide de l'Etat que s'ils arrivent à répondre par l'affirmative à la question suivante : avez-vous fait assez rire vos contemporains cette année ?

Si la réponse est non, eh bien, désolée, ils sont privés de sous pour une année.

Une suggestion en passant...

29 juillet 2012

"Acapulco Madame", intro

J'étais en train de me demander pourquoi j'aime tant la pièce dont je parlais hier, Acapulco Madame d'Yves Jamiaque. Les propos d'Armand Lanoux en intro de la pièce le résument très bien. Je ne suis pas feignante mais pourquoi aller me triturer la tête pour écrire ce que j'en pense alors que c'est déjà fait ?

Voilà l'intro en question :

"Plaisir à Acapulco", d'Armand Lanoux

Et si nous allions au théâtre ?

Oui, le théâtre, sa cour et son jardin, son rouge rideau illustré, ses loges d'or et ses lustres de diamant, le théâtre où l'on donne la comédie, comme on disait au temps de Beaumarchais ? Ce serait original. Il n'y en a plus tant, ma foi, de théâtre, s'il y a beaucoup de théâtres.

Oui, si nous allions à la comédie ? Nous choisirions une vraie, dans laquelle il y ait une action jusqu'à la dernière réplique, des personnages, dont trois au moins sont des caractères, qui nous font rire, sourire et nous inquiètent, où il y ait une intrigue qui nous intrigue, où il y ait un dialogue - tant pis, je vais jusqu'à l'insanité : un texte -  bien écrit, c'est-à-dire écrit pour être bien dit par des acteurs qui poussent l'insolence jusqu'à être des comédiens, un dialogue composé, équilibré, souvent cocasse, fait avec les mots des personnages et non des mots d'auteur.

Si ce projet dément vous convient, je vous propose Acapulco Madame, doux-amer et chaud-froid d'Yves Jamiaque, dont Paris applaudissait il y a deux ans Monsieur Amilcar.

Toutes les pièces roses sont noires, c'est bien connu. Avec Acapulco Madame, voici la pièce rose la plus noire de l'année.

28 juillet 2012

"Acapulco Madame" (2H, 2F, 1 adolescent)

DSC02117Acapulco Madame d'Yves Jamiaque, une pièce en deux parties publiée par l'Avant-Scène (numéro 598).

Première pièce de cet auteur que je lis et quelle jolie surprise ! J'ai bien aimé ce texte, c'est tout à fait mon style. Léger, marrant, bien foutu, un bon moment de théâtre selon moi.

L'histoire est relativement simple mais bien menée, une histoire qui pourrait même se passer dans la vie de tous les jours.

Il s'agit d'une femme qui reçoit un beau matin un coup de téléphone mystérieux d'un homme, un secret admirateur, l'invitant pour Acapulco. Elle réfléchit un peu à cette proposition, lance en passant à son mari, à sa frangine et son fiancé qu'elle risque de partir le mardi suivant pour Acapulco et voilà que tous s'inquiètent de ce curieux projet. Pensant qu'elle les fait marcher, ils font semblant de la croire, puis réalisant qu'elle est sérieuse, son mari lui demande une seconde chance, promet de changer... mais va-t-il vraiment le faire ?

Une pièce encore très actuelle sur le rôle de la femme dans le couple, au sein de sa famille. Cette femme est ignorée par son mari et fait désormais un peu partie du décor, tout comme le personnage féminin de la pièce et du film Shirley ValentineAcapulco Madame a été la première fois jouée en 1976 dans le cadre le l'émission "Au théâtre ce soir" et elle sonne toujours juste des années plus tard.

Je conseillerai à une troupe à la recherche d'un texte marrant de la lire et de la monter. Très chouette. Je vais maintenant me procurer les autres textes d'Yves Jamiaque.

27 juillet 2012

Ecriture d'une pièce de théâtre et d'un scénario

Y a-t-il une si grande différence ? Essayant d'écrire les deux, je me pose souvent le problème.

Comme je l'ai déjà dit dans un message précédent, je trouve que l'écriture d'une pièce permet moins de partir dans tous les sens, force à se maîtriser plus qu'un film.

On peut malheureusement aujourd'hui faire un film avec rien, du genre Valentine's Day, où l'on juxtapose quelques histoires autour d'un thème et c'est bon. On se fout complètement des personnages que l'on voit évoluer par mini-sketch et le tout doit prendre un sens, car il s'agit du même jour : la Saint-Valentin. Qui ça intéresse vraiment ?

Enfin bref, traduisons ce film sur scène et qu'est-ce que nous avons ? Rien ou, pour être exact, un défilé de personnages, chacun venant dire quelques lignes pour repartir aussi vite et laisser la place à d'autres. Où je veux en venir avec tout ça ?

Qu'il me semble que sur la scène il est plus difficile de présenter n'importe quoi ou alors, si on le fait, la nullité saute immédiatement aux yeux.

Au cinéma, on peut prétendre avoir une histoire en offrant des distractions visuelles, des décors de vacances par exemple, mais en fait ne rien avoir du tout, aucune intrigue, aucune direction, aucun message.

De nombreuses comédies romantiques se situent de nos jours à Hawaï, en Irlande, en Alaska où je ne sais où, comme pour faire oublier le reste. Ce n'est pas un hasard, j'ai bien peur.

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26 juillet 2012

Finir une histoire

Si on pouvait vendre un scénario au poids, je pourrais essayer d'en vendre deux. J'en ai quatre moitiés ! 220 pages de continuités dialoguées.

Malheureusement, cela ne marche pas comme ça. Tant qu'on n'a pas terminé une histoire, on n'a rien. Peut-on dire qu'on écrit si on n'a que des petits bouts de rien dans ses tiroirs ? Non.

Je ne sais pas combien de temps j'ai mis à écrire ma première pièce, bien trop longtemps, c'est sûr, mais je savais que si je ne la terminais pas, je n'en terminerais aucune.

Comme je l'ai déjà dit, je ne trouve pas facile de boucler un récit. Il faut de la discipline, se pousser à y aller. Une histoire coince toujours à un moment donné et la reprendre, alors qu'on sait que c'est le grand fouillis, relève parfois des travaux forcés.

A présent par exemple, j'aimerais faire autre chose que des pièces à 5 personnages, mais j'ai deux projets que j'ai commencés je ne sais même plus quand (trois ans ?) et si je les laisse dans leur état actuel, à quoi ils me servent sinon qu'à encombrer mon salon et à me stresser dès que je passe devant ?

Donc je me force à les finir. Si je n'avais pas cette discipline, je crois que j'aurais 25 premiers actes et c'est tout. C'est pour cette raison que, malgré mon message, il y a plusieurs mois, annonçant haut et fort que je mettrais des pièces à 10 personnages en ligne prochainement, je n'ai pas beaucoup avancé.

25 juillet 2012

Si j'avais écrit ça un autre jour...

question_du_jour... le résultat aurait-il été différent ?

Une question qui me trotte souvent dans la tête. Lorsque je commence à écrire un bout de texte, je me demande toujours ce qui se passerait si j'attaquais cette même section deux heures plus tard ou le lendemain par exemple ?

J'entends d'ici dire : "mais elle n'a rien d'autre à faire, celle-là, pour se poser des questions pareilles ?", eh bien si, je suis pourtant assez occupée, mais cela me travaille quand même. Surtout les jours où tout va vite, où je suis relativement inspirée, je me demande vraiment dans quelle autre direction je serais partie à un autre moment donné.

On ne peut jamais répondre à ce genre de questions malheureusement, ce qui est énervant.

23 juillet 2012

"Monsieur Barnett" (2H, 2F)

DSC02134Monsieur Barnett de Jean Anouilh, une pièce en un acte publiée par l'Avant-Scène (numéro 559).

Une pièce que Jean Anouilh a écrite pour le café-théâtre. Un texte pas très long, qui n'est pas mon préféré de Jean Anouilh, car j'ai trouvé le changement de ton un peu étrange. Au début, c'est une comédie, c'est amusant, le pauvre Monsieur Barnett n'a pas le temps d'en placer une, mais à la fin, tout vire un peu au drame et il meurt.

L'action se passe chez un coiffeur. Monsieur Barnett est bien entouré, il a d'un côté le coiffeur à ses petits soins, de l'autre côté la manucure. Ce sont surtout eux qui parlent. On apprend par leurs propos que Monsieur Barnett est quelqu'un qui a réussi professionnellement, qui a de l'argent. Mais on découvre aussi au fur et à mesure que Monsieur Barnett est un homme très seul, qui malgré ses nombreuses conquêtes sentimentales, n'a en fait personne de proche. Lorsqu'il fait un malaise sur place, il est angoissé à l'idée de mourir seul et propose de payer une fille qui se trouve là pour qu'elle l'aide dans ses derniers moments.

Pas hilarant tout ça, c'est sûr, et je trouve que le début ne nous prépare pas à une fin pareille. Curieux.

22 juillet 2012

Défaut de débutant

Il y a une chose qui différencie les dramaturges publiés des textes d'auteur que l'on trouve sur le Net et qui ont été écrits par des débutants : cela concerne la présentation des personnages.

Dans les pièces de pros, les personnages sont toujours décrits avant qu'ils ne baragouinent quoi que ce soit. Dans les textes de débutants, le personnage est annoncé et hop, ça bavarde. L'auteur qui débute a tellement été pris par son texte qu'il n'a pas essayé de se mettre dans la peau du lecteur et tout est amené trop vite.

C'est la première chose que je me demande lorsque je lis un texte écrit par un inconnu. A-t-il pris le temps de décrire le personnage qu'il fait entrer en scène ou a-t-il été un peu vite en besogne et on ne sait pas du tout à quoi il ressemble, qui il est ?

Les descriptions ne doivent pas être à rallonge, juste une ou deux lignes... On doit donner l'âge, ça c'est important, et une petite idée de son look. Look sérieux ? Intello ? Allure sympathique ? Mesquin ? Etriqué ? Juste quelques adjectifs qui permettent au lecteur de mieux situer à qui il a affaire et de continuer à lire tranquillement...

21 juillet 2012

Un écrivain raté

Qu'est-ce qu'un écrivain raté ?

Celui qui écrit des romans par exemple et qui, malgré plusieurs tentatives, n'a toujours pas été publié mais y croit encore, ou celui qui las de se battre a abandonné ?

Pour moi, c'est le second, celui qui a tout laissé tomber car c'est trop difficile. Tant qu'on écrit, on fait des progrès, donc on ne peut pas dire qu'on échoue à quoi que ce soit.

Une petite mise au point en passant...

20 juillet 2012

Une histoire qui m'emm....

question_du_jourQuestion que je me pose aujourd'hui : les dramaturges et scénaristes que j'aime bien se poussent-ils à écrire des histoires qui les emm.......?

Eh oui, je parle bien de mon histoire d'accident de voiture, qui a refait surface dans ma tête ces deux derniers jours. Est-ce que c'est normal de se forcer à écrire un truc ainsi ? Qu'est-ce que cela donne à la fin un projet sans passion, qu'on écrit juste pour finir ?

Le problème c'est que le concept me paraît bon, une vue légèrement différente sur les effets d'un accident de voiture sur deux frangines, mais c'est d'un triste, c'est d'un pénible ! Si je pouvais avoir une baguette magique et le finir en un quart de seconde, ce serait le soulagement !

Mmm, rien de tel n'est possible... Il faut bosser et s'emm..... pour le terminer.

Au prochain message sur le sujet donc..

19 juillet 2012

La tête à pleurer

J'ai ouvert une catégorie "La tête à pleurer", où je placerai tous mes messages consacrés à mes tentatives d'écriture d'un drame.

J'en ai plusieurs en tête, mais pour l'instant je n'ai parlé que de mon histoire d'accident de la route, qui végète sur mes étagères depuis un bon bout de temps.

En espérant qu'ouvrir cette catégorie va m'aider à la boucler un de ces quatre...

18 juillet 2012

La tête à pleurer (3)

sad_faceEh oui, j'ai toujours cette histoire d'accident de la route sur mes étagères et non, elle n' a pas avancé d'un pouce. Lorsque je m'apprête à la reprendre, même passer l'aspirateur me paraît tout d'un coup passionnant.

Je suis allergique aux histoires tristes, c'est pour ça que j'ai du mal à écrire ce drame. Il s'agit en fait d'un accident d'une voiture et d'une mobylette, ce qui ne rend pas l'histoire plus drôle, je suis d'accord, et l'histoire ne permet aucun humour.

"A qui vais-je infliger un truc pareil ?" Est-ce ce genre de questions qui me bloque, la culpabilité de saper le moral des gens ?

J'aime les histoires qui donnent le sourire aux lèvres. Lorsqu'on sort d'un film de Woody Allen, par exemple, et qu'on regarde les spectateurs sortir de la séance précédente, les gens sourient, planent un peu, l'atmosphère est légère.

Vous ressortez d'une heure et demie à entendre les effets désastreux que peut avoir un accident de mobylette sur deux sœurs, vous vous dirigez de suite vers le bar du coin. Tout le monde sait que la vie réserve parfois de bien mauvaises surprises, non ?

J'ai quand même le titre, Un matin de juillet, titre hyper original qui n'a pas changé depuis le début, c'est déjà quelque chose. En fait j'ai presque le premier acte. Il faut juste que j'arrive à pondre les deux autres.

En attendant que cette histoire me passionne...

17 juillet 2012

Mars 2013 !

Fin juin, j'ai envoyé une pièce à un comité de lecture d'un théâtre en France et ils viennent de m'écrire pour me dire qu'ils la liront en mars 2013 ! Il ne faut donc pas être pressé quand on soumet un texte...

Mais au moins ils m'ont répondu, ce qui est déjà ça.

16 juillet 2012

Un personnage principal aux abois...

question_du_jourUn visiteur de ce blog me dit souvent que le personnage principal d'une pièce doit être aux abois, on doit le sentir au bord du précipice sinon l'histoire s'en ressent, le tout n'est pas assez intense.

C'est intéressant ce qu'il me dit et cela me fait réfléchir. Les personnages des pièces de Neil Simon sont-ils aux abois ? Et ceux de Bernard Slade dans sa pièce à deux personnages que j'adore Même heure l'année prochaine ? Mmm, je ne sais pas trop.

Je suis d'accord que plus l'enjeu est élevé, plus le spectacteur est captivé, pris dans le tourbillon qu'on lui propose, mais est-ce que toutes les histoires proposent des enjeux si importants ? Si elles mettent le personnage principal dans un dilemme quotidien plutôt drôle que flippant, que faire ? Renforcer le conflit à tout prix ?  Eviter d'écrire l'histoire en question ? Et le comique de situations ? Est-ce que le personnage d'un tel texte est toujours sur le qui-vive ?

Tout ça n'est pas très clair à la minute. Je me repencherai sur le sujet.

15 juillet 2012

Pièces radiophoniques

radio_okJe viens d'essayer d'écouter quelques pièces radiophoniques présentées sur le site de Radio 4 de la BBC et j'avoue ne pas en avoir écouté une en entier. Trop déprimant !

La première s'appellait "Le dernier soupir" et parlait d'un artiste en 2018 qui voulait mettre le dernier soupir d'un mourant en bouteille et exposer cette "oeuvre" dans une prochaine exposition. J'ai coupé au bout de 30 minutes, je n'en pouvais plus.

Ma seconde tentative a été une pièce pourtant signée d'un grand dramaturge anglais, mais là aussi j'ai décroché. A cause des accents aristo anglais qui m'ont tapé sur les nerfs.

J'ai commencé à écouter une troisième qui parlait d'un type qui voulait se faire enterrer dans son jardin. J'ai duré deux secondes.

Je n'ai pas eu envie d'écouter celle qui parlait des enfants juifs sous l'occupation nazie...

Premier bilan pas trop mirobolant en ce qui me concerne, mais je vais quand même persévérer. Peut-être que c'était une semaine aux sujets particulièrement angoissants...

14 juillet 2012

Changement d'humeur

AnnoyedComme je l'ai déjà dit, je me suis relancée dans une démarche marketing, phase que je n'aime pas du tout et qui a tendance à sérieusement m'énerver. Chacun y va de sa petite critique, de son point de vue (quand on me répond, bien sûr, ce qui n'est pas souvent le cas) et tout ça est en fin de compte assez décourageant.

Donc je préviens, un changement de ton dans mes messages est à prévoir. Je risque de ne pas être de très bonne humeur ce mois-ci.

12 juillet 2012

Radio 4, BBC

radio_okPour compléter mon message d'hier, on peut entendre chaque après-midi sur la station de radio anglaise Radio 4 (BBC) une pièce radiophonique, généralement jouée par des acteurs réputés. Cela fait pas mal d'années que ça dure en plus.

A écouter si on parle un peu l'anglais.

Les pièces sont transmises à 14h15 tous les jours ouvrables sur Radio 4 et on peut les écouter pendant une semaine via leur site internet (lien ici).

11 juillet 2012

La radio sur un plateau

Je viens d'écouter une pièce de théâtre à la radio, Le foie de François Bégaudeau, un texte qui a été publié par le Théâtre ouvert. On peut écouter d'autres textes.

Il s'agit d'une initiative intéressante, d'une collaboration entre le Théâtre ouvert et France Culture (Atelier de fiction). J'espère qu'ils vont continuer à en produire. Pour le lien, voir ici.

10 juillet 2012

L'écriture... et le jogging

jogging_04_1_Pourquoi quand on dit qu'on fait régulièrement du jogging, les gens sont admiratifs, mais quand on dit qu'on aime écrire, ce sont les grandes grimaces ou expressions figées sur les visages de nos interlocuteurs ?

C'est curieux ce phénomène et cela devrait être le contraire. Il ne faut pas beaucoup de mérite pour se mettre en petite tenue pour aller se dégourdir les jambes, alors qu'il faut beaucoup de détermination pour essayer de pondre quelque chose, non ?

Pourquoi cette gêne lorsqu'on on mentionne un intérêt pour l'écriture ? Qu'est-ce que les gens se disent intérieurement pour faire cette tête-là ? "Encore une lunatique qui pense avoir quelque chose à dire ?"

Je vais peut-être mentir à partir de maintenant et dire que je suis une grande passionnée de gymnastique... A voir.

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MES  PIÈCES DE THÉÂTRE (ici)

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